carnet de voyage restaurant lyon

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RESTAURANT CHINOIS

gillian c., à noté

Qui sommes nous?

Partez, sans plus tarder, à la découverte des spécialités du Sichuan et Yunnan !

Le chef Keqiang Chen, auparavant installé à l'enseigne "Carnet de Voyage", nous a régalés avec des plats riches en couleurs et en saveurs: Nouilles sautées aux crevettes et poulet sauté aux piments secs.

On peut aussi consommer des nouilles de riz, typiques du Yunnan, comme la soupe de nouilles de riz au ragoût ou à la viande hachée  saveur Guandu Kunming. Il y a aussi les woks (par exemple, à la bière et au canard) et les marmites (bœuf, poisson, fruits de mer, etc).

Les desserts typés? Les boulettes de riz au thé Pu Erh et les haricots rouges, au lait de coco 

Le dernier avis

2 Quai Jean Moulin 69001 Lyon France

• Lundi 12:00-14:00 / 19:00-22:00
• Mardi 12:00-14:00 / 19:00-22:00
• Mercredi 12:00-14:00 / 19:00-22:00
• Jeudi 12:00-14:00 / 19:00-22:00
• Vendredi 12:00-14:00 / 19:00-22:00
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Last reviews

The waiter's service attitude is very thoughtful, forgot to take the scarf and ran out to give me, very touched

Opening hours

• Mon - Sat : 12h-15h, 18h-22h
• Sun: Closed
• until 22:00

6 restaurants dépaysants pour voyager sans quitter Lyon

undefined 26 juillet 2019 undefined 10h14

Antoine Lebrun

Athera - Le Shalimar (Lyon Resto)

Restaurant dépaysant Lyon. Lyon regorge de bouchons traditionnels et de restaurants gastronomiques. Mais durant l’été, on n’est pas contre un peu d’évasion histoire de faire voyager nos sens le temps d’un repas. Et là encore, la ville propose une belle offre d’adresses dépaysantes où la carte dévoile des recettes originales et exotiques. Voici notre sélection des restaurants qui font le plus voyager à Lyon, inspirée par le site Extra Vacant , spécialisé dans le recrutement en hôtellerie et en restauration.

Le plus indien : Mumbai Café

À la fois bar à cocktails et restaurant d’inspiration indienne, Le Mumbai Café propose une cuisine conviviale et savoureuse. Le concept ? Des plats à partager présentés sur un grand plateau posé au milieu de la table où vous pourrez déguster toutes sortes de spécialités indiennes. Une formule découverte est proposée au prix de 17€ par personne ! Autant dire que c’est vraiment pas cher payé pour un exotisme des plus parfaits !

Mumbai Café 6 rue Sainte-Catherine - Lyon 1er Site web

Le plus déroutant : Messob

Cap sur l’Afrique pour le dépaysement le plus total qui soit. Installé dans le 6e, Messob est un restaurant éthiopien. Tout est fait pour vous plonger dans la culture éthiopienne : tableaux d’artistes éthiopiens, bijoux typiques et personnel vêtu de vêtements traditionnels, le voyage est garanti. Et chez Messob, on oublie les couverts et on mange avec les doigts, à l’aide d’un pain traditionnel éthiopien ! On s’y croirait…

Messob 85 rue Masséna - Lyon 6e
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Le plus street-food : Sabaï Sabaï

Restaurant de street-food asiatique, Sabaï-Sabaï concocte des spécialités d’Asie du sud-est sous forme de tapas. Vous goûterez aux saveurs thaïes, cambodgiennes, vietnamiennes et chinoises, avec une touche contemporaine. Au menu : salade de papaye verte, Dim sum, Mini burgers thaï, Saint Jacques au kaffir ou encore cassolette de curry vert. Côté cocktails, la maison tire aussi son épingle du game avec notamment un Mojito thaï à base de mangue et anis étoilé à tomber par terre.

Sabaï Sabaï 4 petite rue des Feuillants - Lyon 1er Site web

Le plus folklorique : Sainte Russie

Les restaurants italiens, asiatiques et indiens, on connait. Mais quand il s’agit de cuisine russe, on est totalement perdu. Comme son nom l’indique, Sainte Russie propose une immersion dans le pays des tsars. Et la carte est affriolante : salade Kremlin (haricots rouges, pomme de terre, choux fermenté, betterave, oignons, ail), Le Koulibiak (tourte au saumon, pomme de terre, oignon, ciboulette et crème fraîche) ou la volaille à la Stroganov (volaille sautée à la crème, noisette, brandy et épices du Caucase). Tradition oblige, l’adresse propose également un large choix de vodka russe (et on peut même vous la servir à la kalachnikov...).

Sainte Russie 12 rue Juiverie - Lyon 5e Site web

Le plus ensoleillé : Bodeguita Cubana

Envie de soleil et de bonnes ondes ? Voici l’adresse parfaite. Cap sur la Croix-Rousse pour une halte chez Bodeguita Cubana, un délicieux restaurant cubain. De la musique à la cuisine en passant par la décoration, nous voilà transportés en Amérique latine. Côté cuisine, on retrouve les traditionnelles empanadas, les ceviches, la célèbre feijoada brésilienne revue à la cubaine avec ses haricots noirs et sa cochonnaille, sans oublier le pluma ibérique aux petits oignons caramélises et son maïs grillé.

Bodeguita Cubana 44 rue de Cuire - Lyon 4e Site web

Le plus immersif : Le Shalimar

Véritable institution de Lyon depuis 1984, Le Shalimar est l'un des tous premiers restaurants indiens à s'être installé dans la capitale des Gaules. Au programme : une cuisine indienne raffinée alliant les épices comme personne. Les plats proposés sont cuits dans le tandoor, le four traditionnel indien. Et le cadre, parlons-en : absolument pittoresque fait de boiseries, de grandes arcades et de plantes tropicales pour assurer un voyage des sens intégral.

Le Shalimar
 39 quai Docteur Gailleton - Lyon 2e Site web

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Carnet Gourmand

Notes et avis

Emplacement et coordonnées.

Enfin j’ai pu déjeuner au Carnet Gourmand à Lyon car il y a souvent une telle queue dehors que je passais mon chemin. Quelle découverte extraordinaire! Enfin un restaurant chinois ou on mange autre chose que les nems et potage pékinois!!! Salade de méduses incroyable!... Marmite de tripes … les portions sont larges En plus le service est agréable et effectué sans urgence. Bravo Plus

Surprise de trouver que ce restaurant ferme le mercredi midi, j'ai demandé le personnel pour savoir qu'à part ferme le mercredi et le dimanche midi, ce restaurant ouvre tout le temps. C'était un restaurant réputé pour être notre cantine avant, premier restaurant chinois vient en... réflexe. Contente de trouver que le goût reste comme avant. Plus

Bonne nourriture, vraiment chinoise, et bon accueil. Un bémol : le vin en carafe ou au verre est vraiment trop cher !

Grosse déception , hormis la gentillesse du personnel . La qualité des plats n’est pas au rendez-vous . Menu avec beaucoup trop de plats différents = produits congelés. Va et vient incessant entre la deuxième salle qui se trouve de l’autre côté de la rue... , ce qui fait rentrer le froid à chaque ouverture de la porte donnant sur la rue. Très cher pour ça. Plus

Je mange très régulièrement dans ce restaurant. J'aime beaucoup les calamars, mais tout est très bon. Le service toujours agréable.

Grands adeptes de resto sur Lyon, carnet gourmand est une excellente découverte pour nous ! Je vous recommande de réserver votre table :)

Le restaurant se divise en deux parties ce qui nous a permis de partager le repas dans un endroit petit mais très agréable. Un coup de cœur pour les vermicelles du Yunan (11€) avec un excellent rapport qualité prix. Le service est rapide et efficace.

Menu sympa et pas cher le midi (13,50 €). Mention particulière pour le dessert "boulettes de riz au thé", je ne connaissais pas et c'est un régal. Personnel sympathique et aux petits soins.

Petit restaurant asiatique choix varié pour tout les goût Très bonne adresse plat épicé comme il se doit et très bon personnel , sympathique je recommande !

Un besoin fort de regoûter la cuisine de ce restaurant. On a pris plusieurs plats à emporter en deux essais. C'est tellement délicieux. J'ai hyper bien mangé. Je recommande

CARNET GOURMAND, Lyon - Cordeliers - Jacobins - Commander en ligne - Restaurant Reviews - Tripadvisor

• Cuisine : 4.5
• Service : 4
• Rapport qualité-prix : 4.5
• Ambiance : 4

LYON – ARTISANS DU GOUT

Les artisans du goût

Pour compléter votre visite de Lyon, nous avons sélectionné un certain nombre d’adresses gourmandes tenues par de véritables artisans du goût, tous amoureux de leur métier, passionnés, véritables dénicheurs de saveurs…

routes gourmandes Lyon – Café THOMAS, restaurant et bar à tapas

Aprés le Restaurant Thomas, ouvert en 2002, le Comptoir, ouvert en 2008, Thomas Ponson ouvre en 2009, le Cafe Thomas – Restaurant Bar à tapas , au 1 rue Laurencin dans le 2ème arrondissement, à Lyon

Les tapas, c’est une manière de manger, une question de petites portions et de partage. Partant de cette tradition espagnole, Thomas ne se limite pas aux tapas et pinchos mais propose aussi sushi, plats régionaux en petites portions et autres antipasti.

Fidèle aux produits de saison qui font le succés des autres établissements, l’accent est toujours mis sur la qualité et la fraîcheur des ingrédients.

Le Café Thomas est un restaurant décontracté ou l’on sert une nourriture de première qualité en petites portions pour permettre à tous d’y goûter. Les tapas permettent de se restaurer de façon variée, en mélangeant les couleurs et les textures. On peut rester au bar ou s’asseoir pour manger en buvant de la bière, du vin ou des cocktails.

Café Thomas – bar à tapas 1 rue Laurencin – 69002 Lyon tel : 04 72 41 92 99

Les huiles d’olive et les saveurs méditérranèennes au Quai des Oliviers

Léquipe de cette véritable épicerie méditérranèenne, animée par Vincent Estrade, est allée dénicher des trésors de goût, rares et uniques, en provenance directe du Sud (de la Toscane, d’Andalousie, de la Vallée des Baux, de Crète, de Corse, de Sicile…). Des huiles d’olive, mais aussi des vinaigres, balsamiques et de xérès de 50 ans d’age… des pâtes et du risotto !! et quelques vins rares…

l’équipe du quai des oliviers : photo

Quai des Oliviers 29 quai Saint Antoine 69002 Lyon tel : 04 78 42 86 14 et fax : 04 78 42 83 20 https://quai-des-oliviers.com/

Routes gourmandes Lyon – Fromagerie Polèse – l’ Art des Choix

Les fromages à l’ Art des Choix , une des meilleurs sélection de fromages de Lyon, français bien sûr, mais aussi anglais, hollandais, italien, espagnol… une ouverture sur l’ Europe !

Annick Polèse et ses équipe, sauront vous conseiller et vous feront partager leur passion !

L’ Art des Choix affineur depuis 1947 fromagerie Polèse depuis 3 générations 53 avenue Jean Jaurès 69007 Lyon tel : 04 78 58 83 52 et fax : 04 78 72 13 16 site internet : https://fromagerie-polese.com

Buffet fromage, repas fromages, plateau à thème, dégustation

rues gourmandes à lyon – les artisans du goût – la Boucherie TROLLIET aux Halles de Lyon

Maurice et son fils Alexis, et toute l’équipe, vous feront partager leur expérience et leur savoir-faire.

Boucherie TROLLIET 102 cours Lafayette 69003 Lyon tel : 04 78 62 36 60 fax : 04 78 95 34 12 www.boucherie-trolliet.com/

rues gourmandes  à lyon – les artisans du goût – la poissonnerie Vianney à la croix-rousse

La poissonnerie Jean VIANEY

Depuis près de 40 ans, Jean Vianey et son fils Jean Luc (MOF) proposent « le meilleur » des produits de la mer. 20h chrono ! c’est le délai écouléentre la pêche et la mise sur l’étalage et il faut venir à l’aube pour être sûr de ne pas faire la queue jusque sur le boulevard !! Un professionnalisme reconnu de tous ses pairs, il fournit les grands chefs de Lyon. De nombreux labels de qualité, des plats à emporter, une fraîcheur assurée.

Poissonnerie VIANNEY 112 bd de la croix-rousse 69001 Lyon tel : 04 78 28 68 67 fax : 04 78 27 79 82 http://www.maison-vianey.fr/

rues gourmandes  à lyon – les artisans du goût – Fromagerie Renée RICHARD

Leur renommée est immense, il suffit de regarder derriére le comptoir, les centaines de carnets de commande et le nom des restaurateurs… Mais c’est son ami Paul Bocuse, que Renée (la mère de Renée) connaît depuis toujours (leurs mères travaillaient ensemble, chez le père Ducerf, place des terreaux), qui lui prête les caves de l’abbaye de Collonges pour l’affinage de ses saint-marcellin.

Car c’est essentiellement gràce à un petit fromage du dauphiné que la mère et la fille sont mondialement connues, le saint-marcellin, crémeux et fait à coeur, à la fine croûte. « un fromage doit être à l’heure » dit-elle. Tout est vraiment parfait chez les mères Richard…..

Fromagerie Renee RICHARD Halles de Lyon 102 cours Lafayette 69003 Lyon tel : 04 78 62 30 78

rues gourmandes à lyon – les artisans du goût – la boulangerie MADO

Chez Mado il y a des gros pains, de la brioche nature et des focaccias salées et sucrées. Tout est fait maison au levain naturel. boulangerie MADO 26 rue de la Thibaudière, Lyon 09 54 32 89 10 [email protected]

Un week-end à Lyon, suivez la guide !

• 16 janvier 2023
• Carnets de voyage , France , Lyon

Lyon est ma ville natale et j’y ai grandi. J’y reviens encore régulièrement et j’y reste très attachée. C’est donc sans chauvinisme aucun que j’affirme de Lyon est une très belle ville. 😂 Bienvenue dans notre week-end à Lyon !

Si Lyon est classée première destination européenne depuis 2 ans, devant les autres capitales, ce n’est pas pour rien. On vous garantit qu’un week-end à Lyon, ce n’est pas du luxe pour en profiter comme il faut. En fait, 3 jours, c’est une durée parfaite pour un grand week-end à Lyon. Nous y avons passé le week-end de l’Ascension pour filmer notre dernière vidéo. Alors, voici notre programme !

Jour 1 : les Terreaux, la Croix-Rousse et Musée des Confluences

L’impressionnante place des terreaux.

Arrivés en soirée, nous voilà frais et dispos pour entamer la première journée de notre week-end à Lyon. Nous commençons par la Presqu’île, le quartier situé entre le Rhône et la Saône.

L’opéra fait toujours son petit effet, mais j’aime en particulier la place des Terreaux . Elle est bordée d’un côté par l’hôtel de Ville et, de l’autre, par le musée des Beaux-Arts. La monumentale fontaine de Bartholdi lui fait face. Enfin, faites attention à regarder où vous mettez les pieds : des fontaines au sol jalonnent l’espace.

Une fois que nous avons fait un tour sur nous-mêmes pour admirer le mélange d’architecture ancienne et moderne, nous allons visiter le jardin du musée des Beaux-Arts . Il est en accès libre et c’est un endroit que je trouve très relaxant. Et cerise sur le gâteau, on peut y voir de belles sculptures.

Balade à la Croix-Rousse

Nous choisissons ensuite d’aller nous balader sur les pentes et le plateau de Croix-Rousse . C’est juste au-dessus de la place des Terreaux. Nous nous enfonçons dans le dédale de rues étroites et recouvertes d’œuvres de street-art. Il faut dire que ce quartier est réputé pour !

Nous avons les mollets qui chauffent. En effet, pour escalader « les pentes », ça grimpe : escaliers et rues pentues se succèdent. Nous passons par le passage Thiaffait et par la montée de la Grande Côte. Ainsi, nous admirons les immeubles des soyeux, avec leurs hautes fenêtres et leurs façades colorées.

Nous passons sur la place de la Croix-Rousse et allons boire un petit café près du Gros Cailloux. Nous apprécions la vue et l’ambiance sympa et bobo. De retour sur la place, nous passons par le marché, puis nous nous baladons dans la Grande Rue de la Croix-Rousse, avant de prendre sur la droite, vers les escaliers qui nous ramènent vers les Terreaux. Mais avant de descendre, nous profitons d’une superbe vue depuis la Place Bellevue.

Pour ce début de week-end à Lyon, nous avons déjà arpenté le pavé. En tout cas, pour bien découvrir le quartier de la Croix-Rousse, il faut impérativement le faire à pied !

Musée des Confluences à Lyon

Nous consacrons notre après-midi à la visite d’une expo temporaire du Musée des Confluences . C’est l’occasion de revoir aussi les collections permanentes. C’est un très beau musée qui nous occupe un bon moment. Nous allons ensuite nous balader en dessous du musée, à l’endroit où la Saône se jette dans le Rhône. En regardant bien, on peut voir que les deux cours d’eau n’ont pas du tout la même couleur !

Plus de détail dans notre article dédié au musée des Confluences

Musée des confluences : le nouveau musée star de Lyon

Coucher de soleil sur les berges du Rhône

Pour terminer cette première journée de week-end à Lyon, nous allons prendre l’apéro sur les berges du Rhône . C’est un coin particulièrement prisé à cette heure, nous avons donc quelques difficultés pour trouver une table. Mais nous sommes récompensés de nos efforts par le spectacle magnifique de l’heure bleue au-dessus de l’Hôtel Dieu qui s’illumine.

Jour 2 : parc de la Tête d’Or et Fourvière

Le parc de la tête d’or.

Le week-end à Lyon, il y a toujours du monde au Parc de la Tête d’Or et encore plus l’après-midi, surtout vers les animaux. C’est pourquoi nous choisissons de nous y rendre le matin. De plus, les animaux cherchent la fraicheur l’après-midi, et ils sont plus difficiles à voir.

Nous commençons notre balade en entrant par la porte des Enfants du Rhône , ornée d’une magnifique grille dorée à l’or fin, digne de la place Stanislas à Nancy ! De là, nous allons tout droit en longeant le lac par la droite. Nous arrivons rapidement vers la petite roseraie, qui est ma préférée. En mai, tous les rosiers sont en fleurs et c’est un enchantement ! Après un petit tour parfumé des allées, nous nous dirigeons vers le zoo du parc de la Tête d’Or . Le premier enclos est celui des girafes, puis nous allons voir les flamants roses. Ce jour-là, nous avons la chance de voir aussi les antilopes et le zèbre, quand tout à coup, les quatre girafes se mettent à courir ! Impressionnant.

Nous allons ensuite voir les singes puis le tout nouvel espace de la plaine d’Asie. Par contre, il n’y a plus de lion ni de crocodiles, et c’est tant mieux. Leurs enclos étaient vraiment trop petits !

Pour finir la balade, nous nous dirigeons vers les superbes serres chaudes et froides, qui abritent une flore exotique. Maxime a déjà beaucoup marché, nous quittons donc le parc par le Boulevard des Belges, mais il y a encore plein de choses à faire au parc de la Tête d’Or en famille. Il y a des manèges, le théâtre de Guignol, les rosalies, des aires de jeux pour enfants, du pédalo sur le lac, etc. Il y a facilement de quoi y passer une journée complète, mais nous avons d’autres choses à voir durant ce week-end à Lyon !

Balade à Fourvière

L’après-midi, il y a trop de monde pour profiter de la balade dans le Vieux-Lyon. Du coup, nous décidons de monter à Fourvière. La queue est impressionnante pour prendre le funiculaire. Petite astuce : il y a 2 entrées de la station Vieux-Lyon. Tout le monde s’agglutine à celle avenue du Doyenné, mais si on prend la petite rue juste après à droite, il y a une autre entrée où il n’y a personne.

Mais nous choisissons de ne pas nous entasser dans le funiculaire pour prendre la montée du Gourguillon . 15 minutes plus tard, nous atteignons le théâtre antique , puis nous remontons vers la basilique de Fourvière et son point de vue sur Lyon . Il y a beaucoup de monde pour apprécier la vue, alors nous ne nous éternisons pas et descendons en direction de la tour métallique. À gauche, nous prenons le chemin du Parc des Hauteurs . Très ombragée, la balade est super agréable quand il fait très chaud ! Au bout du chemin, nous tournons à gauche devant le cimetière de Loyasse puis reprenons une partie du Jardin des Hauteurs dans la rue Roger-Radisson. Le chemin sauvage et très tranquille nous ramène au théâtre antique. J’aime beaucoup cette balade, très calme, et loin de la foule.

Retrouvez l’itinéraire avec la carte qui va bien 😉 dans notre article balade à Fourvière

Itinéraire de balade à Lyon : Fourvière

Jour 3 : les traboules du Vieux-Lyon

Le matin du 3e jour de week-end à Lyon, nous choisissons d’aller nous balader dans le Vieux-Lyon à la découverte des traboules.

Nous commençons par la rue Juiverie et la cour aménagée par Philibert Delorme. Puis, nous passons la place du Change et prenons la rue Saint-Jean. Si toutes les portes ne cachent pas des traboules, presque partout se trouvent de belles cours Renaissance. Sauf que toutes ne sont pas accessibles ! Si vous voyez quelqu’un sortir, profitez de la porte ouverte, mais soyez discrets et parlez à voix basse pour respecter les lieux d’habitation.

La Tour Rose, l’emblème du Vieux-Lyon, n’est pas facile à trouver si on ne sait pas où elle est. Elle se trouve au 16 rue du Bœuf : au bout du couloir, entrez dans la cour, retournez-vous, la voilà !

Enfin, nous voilà sur la place Saint-Jean. Il faut prendre un peu de recul pour apprécier la façade de la cathédrale construite au XIIe et XVe siècle, et qui vit se marier Henri IV et Marie de Médicis.

Coup de coeur pour le street-art lors de notre week-end à Lyon

Ememem et le flacking.

Parmi les différentes et très nombreuses œuvres de street-art que nous avons pu croiser pendant notre week-end à Lyon, Ememem est mon chouchou !

Il ne travaille pas les murs, mais répare et magnifie les trottoirs avec humour et tendresse. Un trou moche, un nid de poule ? Lui, il en fait de l’art, quelque chose de beau et de poétique. Et en plus, il utilise des matériaux de récup. De bout en bout, j’adore le concept !

Nous avons croisé nombre des œuvres de Ememem dans les rues de Lyon, de la plus minimaliste à la plus sophistiquée. Toutes m’ont réchauffées le cœur, comme s’il m’avait préparé un jeu de piste géant ! Mes deux préférées se situent Place Edgar-Quinet entre l’église et le bar Les Saints Potins et quai Romain-Rolland dans le Vieux-Lyon.

Street art pixelisé avec Invader, In the Woup et MifaMosa

Invader a installé 48 œuvres à Lyon. Plus on en trouve, plus on en flashe, et plus on gagne de points sur l’appli FlashInvaders. In the Woup tire ses sujets de la culture pop : Mario, Dark Wador, Blanche Neige. On a vu quelques une de ses oeuvres à la Croix-Rousse. MifaMosa illustre les plaques de rues : place de la Baleine dans le Vieux-Lyon, boulevard des Belges, Rue de Nuits à la Croix Rousse, etc. Il a laissé 8 œuvres à Lyon. J’aime aussi beaucoup ses œuvres pleines d’humour et d’intelligence.

Pour rester plus longtemps qu’un week-end à Lyon

Avec 3 jours bien remplis, nous avons déjà un très bel aperçu de la ville, mais si l’on veut avoir le temps de visiter quelques musées et ils valent vraiment le détour, il faut encore rester quelques jours, ou bien revenir pour un autre week-end à Lyon. Je vous conseille notamment les musées des Beaux-Arts, le musée Gallo-Romain , le musée de l’Imprimerie (souvent désert), ou encore le musée Miniatures et Cinéma (très prisé).

Enfin, une belle balade design à Confluence , aux antipodes des traboules, pourrait venir clore sur une note originale ce nouveau séjour à Lyon. Pour acheter vos billets, votre Lyon City Card ou trouver un tas d’infos pratiques, rendez-vous sur le site de l’ Office de Tourisme de Lyon

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Midi:12.5 € soir 18-30€

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• Oui allez-y !

Un resto comme en Asie !

Depuis le Carnet de Voyage, à l'ancienne adresse, j'y vais environ une fois par mois dans ce resto avec des amis. Quand ils ont déménagé à Quai Jean Moulin et devenu BON VOYAGE nous l'avons suivi.... avec plaisir. Les plats sont toujours délicieux, avec un choix et le goût comme en Asie, et pas toujours des nems/rouleaux de printemps, les sauces aigre-douces, etc comme on en trouve dans les autres restos chinois en France. On adooore !!!

Tytexpe de repas: amis Mes notes Cuisine: 4.5 | Cadre: 4.5 | Service: | Quantité : 4.5

Nous avons été surpris par la cuisine, un vrai délice ! On peut déguster de vrai spécialités chinoises, pas de nems ni toutes les viandes à toutes ces sauces qui se ressemblent ! Par contre il faut aussi commander à l'asiatique sinon le plat est trop grand et écoeurant. Je vous conseille d'y aller à au moins 4 personnes et prendre 4 ou 5 plats différents à partager avec un bol de riz chacun ! Il ne faut pas penser à la mode occidentale: entrée/plat/dessert. Bon Voyage !

Tytexpe de repas: amis Mes notes Cuisine: 5 | Cadre: 5 | Service: | Quantité : 5

Un dîner entre copines organisé par une amie chinoise qui connait son affaire. Elle a commandé pour nous, non pas un repas"à la française" (entrée, plat, dessert) mais tout un assortiment de plats et de légumes servis tous en même temps. Une cuisine fine et relevée, des légumes réinventés (ah, les aubergines ...), un mélange de saveurs et de textures, des plats généreux, le tout arrosé d'un rosé qui se laisse boire. Bien sur, si l'on ne se contente pas des nouilles (appétissantes) en plat unique, les prix sont un peu plus élevés qu'au "resto chinois" du coin de la rue mais la qualité et l'authenticité valent bien ce petit supplément. Et puis, faites comme nous, partagez plusieurs plats : un repas vraiment savoureux et copieux pour une addition de 23 € par personne !

Tytexpe de repas: amis Mes notes Cuisine: 4 | Cadre: 4 | Service: | Quantité : 4

Décue par ce restaurant

je me suis laissée tenter par ce restaurant puisque les avis précédants sur Lyon.resto étaient bons. J'ai été assez décue. Il y a énormément de choix, même trop car on peut se poser la question de la fraicheur des plats. Nous étions quatre et les plats ne sont pas arrivés en meme temps : 1 er plat a arriver seul, 5 mn apres 2 autres plats sont arrivés et 10 mn apres le 4eme plat est arrivé - conclusion : nous n'avons pas pu diner ensemble. Le plat était assez bon mais rien d'exceptionnel.

Tytexpe de repas: amis Mes notes Cuisine: 3.5 | Cadre: 3.5 | Service: | Quantité : 3

félicitations

Excellence cuisine servie par du personnel très s sympathique. Nous avons passé une très bonne soirée. Nous reviendrons pour y goûter d autres spécialités. Longue vie à Bon Voyage.

Tytexpe de repas: toietmoi Mes notes Cuisine: 4.5 | Cadre: 4.5 | Service: | Quantité : 4.5

Restaurant installédepuis peu dans le quartier c'est une amie chinoise qui m'y a invitée. Une vrai découverte d'une cuisine que je ne connaissais pas. Rien à avoir avec la cuisine vietnamienne , ici vous ne trouverez pas de nems ,de rouleaux de printemps ou de sushi !!! Ici on mange chinois et c'est bon, très bon. Une véritable invitation au voyage. Allez y à plusieurs et réservez une table ronde avec le plateau tournant. Attention pas de dessert mais ce n'est pas grave. PS : Vous emportez ce que vous n'avez pas pu finir ...

C'était notre deuxième visite dans ce restaurant , la première fois ... 15.5/20 Gourmet de passage

Magnifique petit bouchon.

Un vrai petit bouchon. Accueil chaleureux et cuisine délicieuse. J'ai ... 19.5/20 François

2ème visite pour un ...

On a encore passé un bon moment, car tout est fait pour que le client ... 19.5/20 Chrysmimi

Très bonne cuisine, on ...

Rien à redire sur la nourriture, en revanche,on ne peut pas se faire ... 15/20 anne0333

Une belle experience

Très belle découverte partagée avec ma chérie ! Nous ne ... 17.5/20 babouche

2, quai Jean Moulin 69001 Lyon 04 72 80 90 93

Midi : 12h-14h30 Soir : 18h30 - 22h30

CARTES ET BOISSONS

Midi : Soir :

12.5 € 18-30€

Toutes Les spécialités

Carnet de voyage d’une journée à Lyon

Le temps d’un week-end nous avons bien préparé notre visite de Lyon en ciblant les incontournables comme le Vieux Lyon, Fourvière et la presqu’île. Dans ce carnet de voyage, vous trouverez toutes nos photos et nos impressions sur Lyon pendant ce week end. Et vous trouverez également sur les liens ci-dessous des infos pratiques pour vous organiser :

• Quel transport choisir à Lyon ? Métro ou voiture ?
• Détail du budget à consacrer
• Que visiter ? Des itinéraires de visites dans Lyon
• Découvrez les lieux insolites et secrets de Lyon

Habitants dans la région lyonnaise, nous n’avons pas eu besoin de trouver de logements ce qui facilite un peu les choses. Mais il y a certains quartiers qui sont plus intéressants pour se loger :

• Les bonnes adresses dans le vieux Lyon avec un bon emplacement
• Infos et conseils pour trouver son logement à Lyon

Visite de la colline de Fourvière

Notre visite de Lyon commence par le théâtre gallo-romain qui s’appelle depuis 2019 Lugdunum :

Petite histoire avant de continuer… Lugdunum, fondée en 43 avant JC par les Romains, est à la tête de la plus grande province des trois Gaules: la lyonnaise. C’est aussi la métropole politique et religieuse et la capitale économique des Gaules. Durant quatre siècles, la colline de Fourvière est au cœur de la vie collective de la cité. On y trouve les principaux édifices publics, notamment des monuments de spectacles. Ces quartiers sont abandonnés à partir du IVème siècle et les ruines des édifices romains disparaissent peu à peu du paysage. Au milieu du 20ème siècle les vestiges de deux théâtres ont été dégagés et restaurés. Ils sont classés au Patrimoine Mondial de l’Unesco.

A la sortie du site, une voie romaine et un des deux théâtres: L’odéon, plus petit, était réservé à des déclarations et des concerts. Bâtiment rarissime, il est l’un des vingt odéons du monde romain retrouvés à ce jour. Son pavement, réalisé avec les plus beaux marbres de l’empire est encore visible aujourd’hui. C’est une belle mise en bouche avant notre prochain séjour à Rome .

À flanc de colline et dominant le confluent du Rhône et de la Saône, les théâtres antiques de Lyon occupaient le cœur de la ville romaine. Pouvant accueillir près de 13 000 personnes, ils étaient parties intégrantes de la vie quotidienne des Lyonnais de l’époque. Le théâtre était dédié à des spectacles populaires et accueille aujourd’hui les concerts organisés à l’occasion des Nuits de Fourvière.

Au cœur même du parc archéologique, en grande partie enterré, le musée gallo-romain de Fourvière a été conçu pour se fondre dans le site.

En sortant du site on retrouve la basilique de Fourvière. Son architecture de style néogothique est l’œuvre de Pierre Bossan. Le 9 juillet 1870, la guerre éclate entre la France et la Prusse. Les lyonnais, inquiets demandent à Monseigneur Ginoulhiac d’exprimer un vœu à Notre Dame de Fourvière pour éviter l’occupation de la ville. Si ce vœu est exaucé, ils s’engagent à construire à Fourvière une église dédiée à la Vierge. L’archevêque formula solennellement ce vœu le 8 octobre 1870. Lyon fut épargnée. La première pierre fut donc déposée le 7 décembre 1872 et la dernière, le 2 juin 1884. Il fallut donc 12 ans pour réaliser le gros œuvre de la Basilique.

Traditions du 8 décembre : En 1851, le cardinal Duboys entrepris la rénovation du clocher sur la chapelle de Fourvière et accepta la mise en place d’une statue de la vierge Marie en bronze dorée. La sculpture de la Vierge Marie fut confiée à Fabish qui sculpta plus tard la Vierge de Lourdes.

L’inauguration initialement prévue le 8 septembre 1852 fut reportée au 8 décembre à cause d’importantes inondations dans les ateliers de fonderie. Ce 8 décembre 1852, l’illumination du clocher fut elle aussi annulée suite aux orages sur Lyon.

Profitant d’une accalmie, les lyonnais décidèrent d’illuminer leurs fenêtres pour faire honneur au nouveau clocher. Cette tradition se perpétue chaque année et a pris de l’ampleur avec l’illumination des monuments et les effets sons et lumières. Un vrai régal pour les yeux, on vous le recommande!

• Voir nos infos et explications sur la fête des lumières

Sous le lion se trouve l’entrée de la crypte. Une église sous une église. Elle est aussi grande que la basilique. L’autel illustre la mort de Joseph. La voûte du cœur est couverte de mosaïques. En remontant d’un étage par l’escalier de Saint-Joseph on se retrouve dans la basilique. Les murs recouverts de mosaïque représentent l’Ancien Testament.

En sortant de la basilique, on peut voir une vue imprenable de Lyon sur l’esplanade avec le quartier de l’opéra, place des Terreaux, les Cordeliers…

Le quartier de la Part Dieu et de son crayon (qui est la tour du Crédit Lyonnais), quartier des Brotteaux. Il manque à l’époque la tour In City.

Le quartier Bellecour et sa grande place.

Visite du Vieux-Lyon et ses traboules

Après ce panorama, nous descendons direction le quartier du vieux Lyon.

Vous pouvez passer par un guide local pour avoir toutes les infos pendant votre visite, c’est très intéressant d’avoir l’histoire du Vieux Lyon et de ses traboules.

• Réservation d’une visite guidée dans le vieux Lyon

Le chemin nous amène à la rue du Bœuf (rue très animée où se concentre beaucoup de restaurants et de bouchons lyonnais ).

Nous arrivons sur la place Saint Jean, la plus ancienne place de Lyon. La fontaine date de 1844 et a été dessinée par Dardel, architecte de la ville, à qui l’on doit le Palais du Commerce. Elle reproduit un petit temple néo-renaissance entouré de quatre vasques de pierre dans lequel a lieu le baptême du Christ par Saint-Jean Baptiste. En face, la cathédrale St Jean.

A droite de la cathédrale, se trouve la manécanterie, ancienne maison de chanoines et seul vestige du cloitre Saint-Jean détruit à la Révolution.

Elle date du XIème. Son nom vient de « mane cantare » chanter le matin en latin, car ce fut à partir du XVème l’école de chant des choristes de la cathédrale.

Nous entrons dans la cathédrale Saint Jean pour aller voir la célèbre horloge astronomique.

L’horloge est une tour carrée de 1,80m de côté, surmontée d’une tourelle octogonale présentant les automates puis d’un dôme supportant le coq qui culmine à 9m. Décor avec guirlandes de fleurs et fruits datant du 17ème siècle. Cinq poids à remonter tous les 4 jours permettent le fonctionnement.

Deux statuettes fixent en haut de l’horloge: Saint Pothin: 1er évêque de Lyon martyrisé en 177 dans l’amphithéâtre des Trois Gaules et Saint Irénée: 2ème évêque de Lyon (130-208), disciple de Polycarpe en Asie Mineure, disciple de saint Jean.

Les automates en mouvement (12h, 14h, 15h et 16h):

• L’ange de gauche retourne son sablier, celui de droite fait le chef d’orchestre
• Le coq chante 3 fois, hausse le cou, ouvre le bec, bat des ailes
• Trois des six anges entourant “Le Père céleste »’
• Le Suisse se tourne rapidement, démarre sa ronde, saluera la foule de la tête et de la main
• Marie se tourne vers l’Ange Gabriel, le saint Esprit sous forme d’une colombe descend du plafond qui s’entrouvre
• Le Père céleste” bénit son peuple par trois fois
• Le Suisse termine sa ronde pendant que la grosse cloche sous le coq sonne l’heure nouvelle

Le jardin archéologique de Saint Jean, derrière la cathédrale : Dans les années 70, on a voulu construire une annexe au palais de justice voisin. On démolit les anciennes maisons pour tomber sur les fondations de deux églises médiévales : Saint-Étienne et Sainte-Croix, église paroissiale pour les gens du quartier. Le projet fut abandonné pour préserver les fouilles.

Nous arrivons sur la rue du Bœuf : Anciennement appelée rue Tramassac, c’est une des plus anciennes rues du Vieux-Lyon. Cette rue était habitée par de riches familles. Au 22 rue du Bœuf se trouve le célèbre restaurant de la Tour Rose. Au-dessus du restaurant figure toujours l’enseigne des anciens propriétaires.

En face du restaurant, à l’angle de la rue du Bœuf et de la place Neuve Saint Jean, se trouve la fameuse enseigne de 1571, faussement attribué à Jean de Bologne, représentant un taureau.

Un peu plus loin, l’enseigne de la maison l’Outarde d’or, une oie sauvage à la chaire fine, enseigne du maître volailler du XVIIIème. La phrase « Je vaux mieux que tous les gibiers » de 1708.

Nous continuons par la visite des traboules de Lyon. Une traboule est une voie réservée aux piétons, souvent étroite, débutant par un couloir d’entrée et traversant un ou plusieurs bâtiments pour relier une rue à une autre. Typiquement lyonnais, le premier qui l’utilise fut Nizier du Puitspelu, dans un journal, publié en 1894. En fait, il ne cita que le verbe trabouler. Pour lui ce mot ne s’employait que dans l’expression « une allée qui traboule, une allée qui traverse ».

Au 16 rue St Jean, cette traboule nous mène à la fameuse Tour Rose. Anciennement appelée la maison du Crible (collecteur des impôts), qui passaient aux « cribles » les finances des mauvais payeurs!

Au 27 rue St Jean, cette traboule donne sur une cour refaite, galeries ouvertes, fenêtres à meneaux et pierre dorée (pierres de la Région).

Au 37 rue Saint Jean, la maison du Chamarier, celui qui faisait respecter l’ordre public. Il conservait les clés du cloître Saint Jean dont cette bâtisse faisait partie. A la fin du XVIIIème, le calcul des impôts se faisaient selon le nombre de fenêtre, alors la plupart des propriétaires retiraient les meneaux pour payer moins d’impôts! C’est pour cela qu’ils n’y a pas de meneaux ici.

Puis on enchaine avec la visite des traboules n°54 rue Saint Jean qui mène à la traboule du 27 rue du bœuf. On reprend au 58 rue Saint Jean dans une HLM, puis au 68 rue Saint Jean. C’est un vrai labyrinthe! Mais les traboules sont vraiment à faire à Lyon!

Toujours sur la rue Saint Jean, le théâtre: « la maison de Guignol » . C’est une des visites à ne pas manquer quand on séjourne à Lyon avec des enfants .

Une collection de marionnettes guignol est aussi exposée au musée Gadagne (histoire de Lyon et des marionnettes du monde). Cette demeure de la Renaissance a été élevée au début du XVIème pour le fils d’un négociant d’épices. Elle fut rachetée par la famille Gadagne, banquiers florentins. Elle fut ensuite rachetée par la ville au XXème. Pour info : une expression typiquement lyonnaise: « Être riche comme un Gadagne » signifiait à l’époque « être riche comme Crésus »…

Montée Garillan, à gauche du musée Gadagne. Comme vous pouvez le constater à Lyon il y a beaucoup de musées comme dans chaque grande ville remplie d’histoires.

La maison des avocats : C’est en 1979 que l’ordre des avocats l’acquit et commença la restauration. De l’ancienne auberge du XIVème siècle, seule reste la large porte cochère qui permettait aux voitures à chevaux de rentrer dans la cour.

Douze arcades toscanes reposant sur des colonnes à chapiteaux plats, sur trois galeries superposées, ainsi que le puits remis en place datent de 1516. Libérée en 2004 par l’école de formation des jeunes avocats, la maison des avocats accueille aujourd’hui le Musée International de la Miniature.

Nous arrivons à la place de la Baleine, qui relie la rue des Trois Maries d’un côté avec la rue Saint-Jean et de l’autre côté avec la rue de la Baleine. Appelée autrefois place du Grand Palais puis place Pandalais. Comme la rue de la Baleine, son nom vient soit d’une enseigne en forme de Baleine soit d’un morceau de squelette de baleine qui aurait été retrouvé là.

La place du gouvernement ne prit son nom qu’au XVIIe siècle. Appelée auparavant place du Petit Palais. Les gouverneurs du Lyonnais, du Forez et du Beaujolais y possédaient un hôtel particulier de 1512 à 1734, démoli au XIXe siècle.

Le tracé de la rue Lainerie remonte au plus haut Moyen-Age. Son nom provient de la déformation de Rue de l’Asnerie. Belle rue à l’époque Renaissance, qui regroupait comme la rue Juiverie de beaux immeubles dont malheureusement ceux du coté Est ont été détruits lors de la construction de l’école Gerson.

Cette voie ancienne, du Moyen Age, porta le nom de rue « de la Juiverie » à cause des nombreux juifs qui y habitèrent aux XIIIe et XIVe siècle. A partir du XVe siècle, la rue fut vidée de ses divers marchés aux bestiaux et devint plus riche et mieux fréquentée : y vinrent des notables de la ville et des riches marchands.

La maison des Têtes de Lions, également appelée maison Dugas. Elle date du XVIIe siècle. Quand elle fut construite en 1647, c’était un des plus beaux palais du Vieux-Lyon. Admirez sa longue façade en pierre grise, les arcades du rez-de-chaussée, les meneaux plats, typiques du XVIIe et les quinze têtes de lions sculptées. Malheureusement, certains animaux ont subi les assauts de l’urbanisme moderne.

La ruelle Punaise servait à la fois d’égout à ciel ouvert (d’où le nom emprunté à cet insecte dégageant une odeur pestilentielle…) et de raccourci pour atteindre la montée St-Barthélémy (des marches sont scellées sur un côté car la pente est peu engageante !

La galerie sur trompe œil de l’architecte Philibert de l’Orme, réalisée en 1536 alors qu’il n’était âgé que de 26 ans. Pour y arriver, il faut suivre l’allée voûtée d’ogives et passer une première cour avec un puits dont seul le dais et son blason sont d’époque. Dans cette cour, Philibert de l’Orme fut chargé de construire une liaison entre deux corps de bâtiments, pratique mais surtout, à la demande du client Antoine Bullioud, esthétique et représentative de sa position sociale. De l’Orme devait donc faire communiquer deux bâtiments distincts par une galerie mais sans empiéter sur la cour assez petite et sans démolir le puits existant. Il s’inspira alors des monuments romains pour créer cette galerie.

La passerelle du palais de justice a été inaugurée en 1983. Conçue par Gilbert Lamboley, elle est large de 4 m, sa travée de 136 m est suspendue par des haubans plantés dans un mât unique ancré sur la rive gauche de la rivière.

Le palais de justice, bâtiment classé monument historique, est situé quai Romain Rolland. Les travaux de construction du palais débutent en 1835, et se terminent en 1842, sous la direction de Louis-Pierre Baltard.

Visite de Lyon de nuit

Une bonne manière de visiter la presqu’ile de Lyon c’est le bus touristique Hop on hop off. On monte et on descend du bus quand on veut et il s’arrête devant chaque lieux d’intérêts.

• Réservation bus touristique

En remontant le quai Gailleton en direction du pont de l’université, on peut voir l’université Lyon II de l’autre côté du quai.

Nous traversons le pont de l’université en remontant les quais direction Guillotière, place Dupont.

Les berges du Rhône ont été aménagées et deviennent un lieu incontournable pour se balader dans Lyon et restent tout aussi agréable que la High Line que vous pouvez voir dans notre carnet de voyage à New York .

S’il y a une période pour visiter Lyon, je vous conseillerai début Décembre avec l’évènement de la fête des lumières. Il faut s’y prendre plusieurs mois à l’avance pour réserver son logement tellement c’est prisé.

• Voir nos infos pratiques sur cette fête des lumières
• Voici un récapitulatif des visites à ne pas manquer à Lyon

Nous avons tout listé par quartiers. Si vous disposez de plus de temps dans la capitale des Gaules, il y a le plus grand parc urbain de France (Parc Tête d’Or) ou sinon vous pouvez visiter les alentours comme le Beaujolais, Vienne et son musée archéologique et pourquoi pas le parc des oiseaux à Villars les Dombes.

Pour aller plus loin

• Comment se déplacer dans Lyon ? Métro, bus, tram…
• Détails de notre budget voyage à Lyon (Logement, activités, transports)
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Soupe de nouilles chinoises à Lyon

Voilà une adresse qu’on aimerait garder secrète. Mais comme malgré tout on a envie de participer au succès des bonnes adresses, on va vous la délivrer sur le champ.

Il s’agit d’un restau chinois, un vrai. Poussez la porte et vous n’entendrez presque plus que parler chinois! Depuis quelques mois déjà le bruit courait d’un vrai bon restau chinois caché dans une ruelle de la presqu’île lyonnaise.

Les nouilles qui traversent le pont

Au restaurant « carnet de voyage ».

Le petit restaurant accueille une vingtaine de tables carrées dans un petit espace chaleureux tout en longueur. A la carte un large choix de soupes de nouilles dont les intitulés français laissent parfois songeur et ne permettent pas forcément de se faire une idée juste du plat. Les nouilles de riz sont généreusement servies dans une petite marmite individuelle dans un bouillon assaisonné de coriandre et condiments et servi avec de la viande. Le poulet est délicieusement tendre, mais il est coupé à la chinoise c’est-à-dire par tronçon, sur chaque tranche vous avez la peau, la chair et l’os.

Certaines soupes sont pimentées d’autres pas du tout. Une purée de piment est à votre disposition sur la table pour vous réchauffer les entrailles. Dans tous les cas, le bouillon a du goût, la viande est tendre et les nouilles parfaitement cuites, même si elles glissent entre les baguettes parfois !

Si manger une soupe de nouilles ne vous tente pas, de nombreux autres plats sont proposés. Des plats familiaux servi avec le riz (poulet, aubergines, etc.), des cassolettes de viandes et légumes chauffés sous vos yeux mais aussi de la fondue chinoise, des plats à base de tofu (mapo doufu).

C’est une adresse très appréciée par les Chinois de Lyon, et nous aimerions savoir, quels plats conseillez-vous pour les lyonnais qui ne sauraient quoi commander ?

Le carnet de voyage

15 rue Neuve

04 72 73 05 45

Tous les jours sauf le dimanche matin

12 :00 à 15 :00 et 18 :30 à 22 :30

M° ligne A, arrêt Cordelier /Hôtel de ville

• Lyon, Auvergne-Rhône-Alpes /
• Carnet de Voyage /
• Menu de Carnet de Voyage

Carnet de Voyage Menu

Plats à carnet de voyage, entrer le lien vers le menu pour carnet de voyage, menus des restaurants aux alentours.

Carnet Lyonnais

Les meilleures adresses de Lyon

Lyon : Guide des restaurants gastronomiques asiatiques incontournables

Vous cherchez à découvrir les saveurs exotiques et raffinées de l’Asie au coeur de Lyon ? Notre guide des restaurants gastronomiques asiatiques incontournables vous emmène à la rencontre des meilleures adresses de la ville. Plongez dans un voyage culinaire où authenticité et excellence se marient pour offrir une expérience gustative mémorable. Découvrez dans cet article une sélection de restaurants asiatiques à Lyon qui sauront ravir les papilles des habitants locaux et des visiteurs avides de nouvelles sensations.

Découverte de la gastronomie asiatique à Lyon

La ville de Lyon, connue pour sa riche tradition culinaire, offre également une diversité gastronomique asiatique qui ravit les papilles des habitants et des visiteurs. En explorant les rues animées de cette métropole dynamique, vous découvrirez une myriade de restaurants asiatiques proposant des plats authentiques et des saveurs exotiques.

Les quartiers de Lyon regorgent de trésors culinaires venus d’Asie. De la Rue de la République à la Presqu’île en passant par le Vieux Lyon, chaque coin de la ville abrite des adresses incontournables pour déguster des mets traditionnels chinois, japonais, coréens, thaïlandais et vietnamiens. Que vous soyez amateur de sushis, de nouilles sautées ou de curry épicé, vous trouverez forcément votre bonheur parmi la multitude de restaurants asiatiques qui parsèment Lyon.

Les chefs talentueux de ces établissements mettent un point d’honneur à préserver l’authenticité des recettes tout en apportant leur touche personnelle, offrant ainsi une expérience culinaire unique. Que ce soit pour un déjeuner rapide, un dîner en famille ou un repas entre amis, la gastronomie asiatique à Lyon saura satisfaire toutes les envies et tous les budgets, avec des formules à emporter ou à déguster sur place.

Les critères d’un restaurant gastronomique asiatique

Dans la ville de Lyon, la scène gastronomique asiatique regorge de joyaux culinaires qui attirent tant les habitants locaux que les visiteurs en quête d’expériences gustatives uniques. Pour distinguer les restaurants gastronomiques asiatiques incontournables, plusieurs critères sont à prendre en compte :

1. Qualité des ingrédients

Un restaurant gastronomique asiatique digne de ce nom se distingue par la qualité irréprochable de ses ingrédients. Des produits frais, de saison et souvent locaux sont privilégiés pour offrir des plats authentiques et savoureux. Les chefs talentueux accordent une attention particulière à la provenance des produits, garantissant ainsi des saveurs subtiles et raffinées qui transportent les papilles vers l’Asie.

2. Maîtrise des techniques culinaires

La maîtrise des techniques culinaires traditionnelles asiatiques est un critère essentiel pour un restaurant gastronomique. Les chefs experts dans l’art de la cuisine asiatique savent sublimer les ingrédients pour créer des plats harmonieux et équilibrés. La précision des découpes, la justesse des assaisonnements et la créativité dans la présentation des plats sont autant d’éléments qui témoignent du savoir-faire exceptionnel d’un établissement gastronomique asiatique.

3. Ambiance et service impeccable

L’expérience culinaire dans un restaurant gastronomique asiatique ne se limite pas seulement aux mets servis. L’ambiance chaleureuse, l’élégance du décor et un service attentionné contribuent à créer une atmosphère immersive et mémorable pour les convives. Un personnel compétent, souriant et disponible pour conseiller les clients sur les plats et les accords mets-vins ajoute une touche d’excellence à l’ensemble de l’expérience culinaire.

Les adresses incontournables à Lyon

Découvrez une sélection des restaurants gastronomiques asiatiques incontournables à Lyon, alliant saveurs exotiques et raffinement culinaire.

1. Le Comptoir de l’Asie

Plongez dans une ambiance authentique et chaleureuse au Comptoir de l’Asie, où les plats traditionnels thaïlandais et vietnamiens sont à l’honneur. Laissez-vous séduire par leurs recettes originales et leurs produits frais, pour un voyage gustatif inoubliable. Prix moyen par personne : 30?.

2. Le Jardin des Délices

Dans un cadre élégant et apaisant, le Jardin des Délices vous propose une cuisine chinoise raffinée et créative. Dégustez des mets délicats et subtilement épicés, préparés avec passion par des chefs talentueux. Ne manquez pas leurs spécialités de dim sum, véritables petites merveilles culinaires. Prix moyen par personne : 35?.

3. Sushi Yama

Pour les amateurs de cuisine japonaise, Sushi Yama est une adresse incontournable à Lyon. Profitez d’une large sélection de sushis, sashimis et makis, préparés avec des produits de qualité et une grande finesse. Laissez-vous tenter par leur menu dégustation pour une expérience complète et savoureuse. Prix moyen par personne : 25?.

Ces adresses vous promettent un voyage culinaire unique à travers les saveurs de l’Asie, au coeur de la ville de Lyon. Que vous soyez un habitant en quête de nouvelles expériences gustatives ou un visiteur désireux de découvrir la richesse de la gastronomie locale, ces restaurants sauront vous séduire et vous faire voyager sans quitter la ville.

Les spécialités asiatiques à ne pas manquer

Découvrez un voyage culinaire exquis à travers les délices asiatiques incontournables que Lyon a à offrir. Plongez-vous dans une expérience gastronomique unique en savourant ces trésors gustatifs venus d’ailleurs.

1. Le boeuf sauté aux oignons

Succombez à la tendreté du boeuf sauté aux oignons, un plat emblématique de la cuisine chinoise. Savoureux et parfumé, ce mets saura ravir vos papilles avec sa combinaison subtile de saveurs.

2. Les sushis frais

Lyon regorge de restaurants japonais réputés pour leurs sushis frais et délicats. Laissez-vous tenter par ces assortiments de poissons crus savamment préparés, accompagnés de riz vinaigré, pour une explosion de fraîcheur en bouche.

3. Le ph? vietnamien

Plongez dans l’univers parfumé du ph? vietnamien, une soupe traditionnelle aux arômes subtils. Garnie de fines lamelles de boeuf, de nouilles de riz et d’herbes fraîches, cette spécialité saura vous transporter au coeur des rues animées de Hanoï.

4. Les dim sum chinois

Ne manquez pas de déguster les célèbres dim sum chinois, de petites bouchées vapeur farcies aux saveurs variées. Accompagnés de sauces relevées, ces mets délicats sont parfaits pour une expérience gourmande et conviviale en famille ou entre amis.

5. Le curry thaïlandais

Laissez-vous envoûter par les parfums envoûtants du curry thaïlandais, un plat épicé et crémeux qui réchauffera vos sens. Savourez ce mélange harmonieux d’épices et de lait de coco, accompagné de riz parfumé, pour un moment de délice authentique.

Explorez ces spécialités asiatiques à ne pas manquer à Lyon et laissez-vous emporter par un voyage gustatif riche en saveurs et en découvertes. Que vous soyez amateur de cuisine asiatique ou simplement curieux de nouvelles expériences culinaires, ces mets exquis sauront combler toutes vos attentes et vous laisseront des souvenirs gustatifs mémorables.

En résumé : Les lecteurs de cet article sur les restaurants gastronomiques asiatiques incontournables de Lyon ont pu découvrir une sélection variée et raffinée d’établissements qui offrent une véritable immersion culinaire dans la richesse des saveurs de l’Asie. Chaque restaurant présenté propose une expérience unique et authentique, garantissant des moments gourmands mémorables.

Que faire ensuite : Maintenant que vous avez exploré ces adresses incontournables, pourquoi ne pas vous laisser tenter par une dégustation dans l’un de ces restaurants pour vivre une expérience gastronomique d’exception ? Profitez de l’occasion pour découvrir d’autres joyaux de la cuisine lyonnaise, en explorant les quartiers pittoresques de la ville et en vous laissant guider par les délices culinaires qui vous entou

Salut, moi c'est Julie. J'ai 25 ans, je suis née et j'ai passé toute ma vie à Lyon, ma ville de coeur. Je vous présente tout ce qu'il faut savoir sur la Cité des Gones : boutiques, restaurants, astuces... Venez visiter et découvrir la ville des Lumières.

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CARNET DE VOYAGE (BON VOYAGE)

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"restaurant chinois ambiance familiale, j’ai goûté le wok au bœuf qui était excelleeent, ça change : à manger avec un bol de riz pour compléter le tout la prochaine fois : à tester les nouilles sautées"

"vrais chinois, très bonne cuisine et copieux ++", @brrl.julie, "excellent. service rapide ", @valerie_jouhaud, "excellent resto avec de vrais plats asiatiques... ", @olivantoine, "le gérant et sa famille sont très sympa. un endroit très convivial où nous avons l’habitude d’y aller en famille je conseille fortement ", @samoussa974, "restaurant chinois de mick ", "restaurant chinois, très bon poulet sauce aigre douce", @maaarieclx, "bon rapport qualité prix. plats délicieux.", @myriamelm02, "restaurant asiatique fréquenté par les natifs", @tessounette, "menu midi entrée+plat ou plat+dessert à 13,5€ || poulet frit sauce aigre-douce miam miam || fortement validé 🤝", @slponchaux, "plats conseillés par la communauté : - brochette d'agneau au y’a cumin - salade de champignon d'or et concombre - haricot rouge croquant (spécialité de yunnan, quasi introuvable ailleurs) - toutes les nouilles de riz (une spécialité du yunnan aussi), surtout au boeuf - boulettes de riz au thé puer - les haricots verts sautés (干煸四季豆) => un plat qu'il faut absolument gouter.", @leacharvaz, "plats conseillés par la communauté : - brochette d'agneau au cumin - salade de champignon d'or et concombre - haricot rouge croquant (spécialité de yunnan, quasi introuvable ailleurs) - toutes les nouilles de riz (une spécialité du yunnan aussi), surtout au boeuf - boulettes de riz au thé puer - les haricots verts sautés (干煸四季豆) => un plat qu'il faut absolument gouter. ", "recommandé par urska et marion", "hyper bon et traditionnel - comme la cuisine de mes grands-parents", "avez vous déjà goûté la vrai cuisine chinoise ici tout est original, typique l’idéal est de partager les plats, de tout essayer, génial ", @lionelsiloefaure, "a l’île de ré, pas de resto asiatique... alors quand on va rentrer, on va foncer chez bon voyage 😋 . . .", @absolutvero.

Imperatrice Wu

@imperatricewu.

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Spécialités Carnet Gourmand est un restaurant de spécialités du Yunnan et dans une moindre mesure du Sichuan, des régions de Chine à la cuisine pimentée (cuisine rouge dis-​t-​on en Chine). Vous voila prévenu, si vous avez peur des épices, vous né serez pas obligés de passer votre chemin mais il faudra le préciser. On est ici dans l’authentique et les amateurs de cuisine chinoise ou les ressortissants du «Pays du Milieu» (empire du milieu est un terme utilisé par les non chinois) seront ravis. On peut y manger à l’européenne (plat après plat) ou à l’asiatique (tous les plats salés en même temps). Les recettes sont très diverses et il est difficile d’en brosser un tableau global. On trouvera beaucoup de nouilles et de plats à base de porc ou de poulets. Mais la spécialité maison reste les nouilles qui traversent le pont. et sa légende. Ce plat aurait été créé sous la dynastie des Qing. Un lettré étudiait dans une île au centre d’un lac dans le sud du Yunnan. Son épouse lui apportait souvent son plat favori (les nouilles de riz) pour son déjeuner. Au vu du long chemin, les nouilles étaient toujours froides quand l’épouse arrivait sur l’île. Historique Fondé en 2012. on est ouvert le octobre 2012, au nom ‘Carnet de voyage’, jusqu’au Juillet 2014, on a changer le nom à ’ Carnet Gourmand’.

17 avis sur Carnet Gourmand

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Carnet de Voyage : Lyon, ville inspirante 1

Afin de clôturer comme il se doit la série d’articles réalisée sur la ville de Lyon, je vous propose aujourd’hui un nouveau regard sous la forme d’un carnet de voyage. Lyon a toujours attisé ma curiosité, mais qu’en est-il réellement du dynamisme de la ville ? Est-ce vraiment une destination intéressante pour un créatif ? Quel est son potentiel artistique et inspirant ? On ne peut plus vraiment compter sur les médias traditionnels qui nous dressent toujours des portraits caricaturaux des grandes villes de France. Aujourd’hui, on a peu de chance de comprendre d’autres environnements que le sien, si ce n’est en s’y rendant soi-même.

Lyon étant une ville de grande envergure, il m’était possible d’écrire de nombreux billets sur le sujet. Cependant, comme vous avez pu le voir jusqu’à maintenant, je me suis limité à des lieux emblématiques comme le Musée des Beaux Arts et le Musée des Confluences . J’ai aussi présenté deux expositions réalisées dans le cadre du festival de BD, pour vous montrer le type d’événements que vous pouvez découvrir au sein de la ville. Ce que vous allez voir maintenant est une sélection d’un périple de 6 jours. Celui-ci m’a permis de voir 7 musées et de parcourir plus de 10 quartiers. Inutile de vous dire que le choix a été difficile mais ne pouvant tout vous montrer, je vais me concentrer sur l’essentiel.

Le vieux Lyon : une architecture riche et abondante en détails

Lyon est une ville qui accroche le regard dans tous les sens du terme. On voit parfaitement le pouvoir économique de la ville par le biais d’une architecture richement et finement ornée. Les multiples statues religieuses ne laissent aucun doute quant à la place de la religion dans la cité. Cela révèle aussi une économie forte qui a permis de bâtir des bâtiments aussi prestigieux les uns que les autres. Le quartier historique draine naturellement une forte population touristique. Possédant l’un des plus anciens quartiers de type médiéval et Renaissance d’Europe, le vieux Lyon est un aimant qui vous attire et vous retient assez longtemps pour en comprendre l’architecture. Les nombreuses bâtisses qui structurent cette zone ont toutes pour point commun de vous faire lever les yeux. Avec plus de 500 bâtiments sur 30 hectares, les amoureux de l’architecture française de cette période seront aux anges.

Il y a une atmosphère particulière que l’on ressent facilement en se promenant d’une rue à l’autre. Les portes fermées qui ne le sont jamais très longtemps cachent à peine des cours intérieures aux caractéristiques uniques. Les restaurants en nombre constituent autant d’opportunités de voir des aménagements qui font la part belle aux volumes d’un autre temps. On imagine sans peine comment ce quartier va évoluer, tant son charme n’invite qu’à s’y installer.

Les traboules

Les portes cachent des trésors. Héritage d’une époque où les circulations se faisaient en traversant les bâtiments, les traboules font partie intégrante du patrimoine de la ville. Les plus connus (et accessibles) vous permettront de découvrir une architecture visuellement intéressante. Sous vos yeux, la galerie Philibert de l’Orme de L’hôtel Bullioud. Si vous souhaitez en savoir plus sur ce lieu, cliquez-ici . Les faibles distances de recul vous obligeront à vous équiper d’un objectif adapté, comme un grand angle ou un fish-eye. Les résidents que vous croiserez sauront faire preuve de courtoisie, pour peu que vous respectiez les lieux. Imaginez-vous vivre dans un logement avec une cour visitée par des milliers de personnes par semaine. Personnellement, je ne suis pas certain que je garderais le sourire. Une pensée chaleureuse donc pour ces résidents bien tolérants.

Les traboules débouchent souvent sur de belles surprises. Cette cour intérieure que j’ai bien du mal à vous montrer dans son ensemble montre un décor qui ne semble pas avoir subi les ravages du temps. Avec cette qualité de pierre, on a juste envie de s’asseoir et de commencer à dessiner les lieux.

Tous ces passages couverts ne se ressemblent pas et ne débouchent pas non plus sur les mêmes éléments. Pour découvrir ce superbe escalier, il vous faudra avoir de la chance car son accès est plus souvent fermé qu’ouvert. Et vu son emplacement, il ne faut pas hésiter à s’infiltrer dans les bâtiments pour le trouver 😉

La structure des ouvertures varie elle aussi d’un endroit à l’autre. Croyez-moi sur parole quand je vous dis que vous pouvez passer une bonne heure à les trouver et à les visiter.

Pour quitter le quartier du vieux Lyon et accéder aux hauteurs, deux options s’offrent à vous. La première passe indéniablement par des escaliers, la seconde consiste à emprunter le funiculaire. Il vous permettra d’accéder à la basilique de Fourvière et aux vestiges romains de la ville de Lyon.

Une fois arrivé, c’est un point de vue unique sur la ville qui s’offre à vous.

En vous éloignant de la partie la plus touristique du site qui accueille la basilique Notre-Dame de Fourvière, vous accèderez à un ancien tracé de tramway. Celui-ci sert dorénavant de chemin de promenade pour les amoureux de verdure. Face à l’entrée, « la petite tour Eiffel » est une tour métallique qui accueillait autrefois un restaurant. Elle ne sert plus qu’aux télécommunications aujourd’hui.

De jour comme de nuit, une ville qui n’usurpe pas le terme de « ville des lumières ».

Lyon est comme beaucoup de grandes villes un lieu qui se découvre de jour et de nuit. La fête des lumières est connue de manière internationale et nombreux sont ceux qui font le déplacement pour observer la ville en lumière. En attendant d’avoir la chance de la voir sous cet angle, il ne m’était pas rare de revenir sur des lieux emblématiques de nuit. Ce qui est certain c’est que la mise en valeur du patrimoine n’est pas pris à la légère par la ville.

Un patrimoine inspirant

Je n’ai pas compté le nombre de bâtiments qui, chacun à leur manière, possédaient des détails qui méritaient de s’arrêter quelques minutes pour les apprécier. N’oublions pas que le charme d’une ville se ressent aussi par la multitude de détails qui forment justement un patrimoine artistique.

Un dynamisme culturel visible

Certaines villes s’endorment sur un patrimoine et ne cherchent pas à développer intelligemment des activités autour de celui-ci. A Lyon, il est impossible de s’ennuyer ! Au vu des nombreuses manifestations qui étaient proposées, j’étais dans l’incapacité d’être partout à la fois. Le moment du choix est toujours douloureux d’autant plus qu’on ne sait jamais vraiment quand on sera amené à revenir. C’est pourquoi l’office du tourisme est un point de départ pas si cliché que ça. Alors n’oubliez pas de vous y rendre pour éviter de passer à coté d’une City Card par exemple ou d’un événement important. Les personnes en poste étant aussi agréables que professionnelles, elles n’hésiteront pas à vous donner leurs propres adresses, si vous avez des demandes spécifiques. C’est comme ça que j’ai pu obtenir des adresses de galeries d’art et autres réjouissances que j’aurais mis plus de temps à trouver seul. Ce foisonnement culturel s’étend des musées jusqu’aux murs de la ville. L’exemple le plus criant est le nombre de fresques en ville.

Les Murs Peints

Les murs peints sont très nombreux au travers de la ville. Ils ont la particularité de se situer majoritairement au sein de la cité idéale. Cette cité, qui fut la première à poser les jalons de ce que devait être un ensemble d’habitations, rassemble donc 25 murs peints. Le parcours pour les découvrir n’est pas long mais vous permettra de voir une expérimentation réussie. Dans ce musée à ciel ouvert ( Musée Urbain Tony Garnier ) on découvre d’immenses œuvres qui sont toutes très bien entretenues et conservées. Aucun tag ne vient à entacher un travail titanesque qui à de quoi rendre fiers les lyonnais.

Je ne vais pas vous publier ici les 25 murs peints ( je le ferai sur mon compte Instagram @lesoufflecreatif ), d’autant plus qu’ils ne sont pas limités à la zone de la cité idéale. En suivant le trajet du tramway qui vous mène à la cité, d’autres murs sont accessibles comme le mur de la « Cité de Shangai ». Ci-dessous, cet ensemble de murs peints est présent sur la place du jet d’eau à quelques minutes du musée urbain. Les premiers murs sont sur le thème de la mythique cité de Babel. Au centre de l’image, vous pouvez apercevoir un mur beaucoup plus contemporain. Pour le voir dans son intégralité et comprendre à quoi il fait référence, il faut vous rendre sur mon article concernant le Musée des Confluences, accessible en cliquant ici .

D’autres murs sont facilement visibles sans s’éloigner du centre ville. Le « Mur des Lyonnais » réalisé par Cité création (comme la majorité des créations de la ville) présente 24 personnages historiques rattachés à l’histoire de Lyon et 6 autres plus proches de nous, comme L’Abbé Pierre ou encore Bernard Pivot.

Dans une rue à proximité du mur des Illustres, une fresque en hommage au peintre Tony Tollet est d’une impressionnante qualité graphique. Pour en découvrir plus sur sa création, vous pouvez cliquer ici .

 Des sculptures omniprésentes

Le centre ville concentre un bon nombre de sculptures de toutes natures, bien que majoritairement religieuses. Historiques ou contemporaines, elles illustrent aussi un patrimoine artistique varié et exceptionnel. Ce qui est certain c’est que vous n’aurez pas à les chercher longtemps puisqu’elles sont toutes disposées à des endroits très fréquentés de la ville. Mon seul regret est de ne pas avoir eu l’occasion de voir la fontaine Bartholdi . Celle-ci disposée face à l’Hôtel de ville et du musée des Beaux-Arts est devenue un immense et impressionnant chantier.

De nombreuses sculptures ornent des fontaines plus classiques, de la plus imposante à la plus petite. Autant d’occasions de découvrir le travail de sculpteurs inconnus et d’apprécier d’incroyables pièces. Lyon cache au sein de ses cours et dans quelques recoins d’autres sculptures de taille moyenne. Vous pouvez aller à la chasse aux sculptures et prendre conscience par la même occasion de leur présence en grand nombre dans la ville. Faut-il encore préciser que toutes ces places sont éclairées ? Cela ne peut que vous inciter à effectuer un nouveau passage à la nuit tombée.

Les musées des Tissus et des Arts décoratifs possèdent une collection unique et inestimable. Malheureusement, les consignes sont assez strictes et il est interdit de prendre la moindre photo à l’intérieur. Ce qui, croyez-moi, est bien dommage tant certaines pièces mériteraient d’être présentées ici. Il vous est possible de trouver des images officielles en les cherchant sur internet. Cependant, si vous êtes sur Lyon, profitez-en pour vous y rendre car l’avenir de ces deux musées est toujours incertain. Fermeture ou déplacement, aucune décision ne vient à conforter un personnel en suspend quant aux possibilités futures de l’établissement.

Le Musée Miniature & Cinéma

Ce musée fut une véritable surprise tant je m’attendais à y trouver quelques salles sans grandes collections. Finalement, c’est une succession de joyaux qui se sont dévoilés les uns à la suite des autres. Avec par exemple la reconstitution de plusieurs décors originaux du film « le parfum » . Une impressionnante mise en scène qui vous plonge dans l’univers du film. La qualité de réalisation est donc équivalente à la scénographie de n’importe quel grand parc d’attraction.

De nombreuses pièces provenant de différents films sont présentées, comme ici avec les visages robotiques de l’homme bicentenaire. Le skateboard de Retour vers le futur, des visages de Babylon 5, des maquettes de toutes dimensions et surtout un Alien géant motorisé, directement issu du film…  

Si vous avez de la chance, vous pourrez apercevoir l’un des employés du musée en pleine séance de restauration. Une fenêtre cachée vous donne un aperçu de l’atelier et des objets à restaurer. On reconnait facilement des pièces de Hellboy, Men In Black, Jurassic Parc ou encore Alien et Star Wars. On peut imaginer alors l’importance et le volume de travail que cela représente.

Le musée dispose aussi d’un très grand nombre de scènes miniatures et de beaucoup d’autres objets. Comme je vous l’ai indiqué en début d’article, il y a de quoi écrire sur Lyon. Pourtant, je n’écrirai pas d’article sur ce musée. Je ne peux que vous conseiller d’y aller si vous le pouvez.

Le Musée des Beaux-Arts

2h30 c’est le temps conseillé pour la visite du musée des Beaux-Arts. Alors avant de commencer, j’avais rassuré ma femme en lui indiquant que je ne resterais pas plus de 2h… Au bout d’une heure, je n’avais fait qu’une salle réservée aux sculptures. Et c’est au bout de 4h que nous sommes sortis de cet espace magique ! Je n’ai pas eu d’autre choix que d’accorder un article complet à ce musée qui m’a laissé une merveilleuse impression. Pour consulter cet article, vous pouvez cliquer ici .

Un quartier en mutation

Tout au fil de l’eau, dans le quartier de la Confluence se dresse un ensemble de bâtiments. Certains sont issus de reconversion, d’autres sont des pures créations. Parmi les bâtiments réhabilités, il y a celui qui abrite la biennale d’art contemporain. Pour aller plus loin et comprendre l’importance de ce secteur en transformation, vous pouvez suivre ce lien en cliquant ici .

Le Musée des Confluences

Le musée des Confluences méritait un article à lui seul. Vous pouvez le consulter en cliquant ici. Vous découvrirez une architecture d’exception et quelques images de l’exposition « Venenum, un monde empoisonné » . Ce n’est pas tous les jours que l’on peut voir un musée de ce type, intégré dans un projet de cette taille.

Des expositions de qualité

Ce que j’apprécie par dessus tout c’est quand une ville se donne les moyens de réussir ses événements. Avec le festival BD , les lyonnais ont eu la chance de découvrir de nombreuses manifestations dans divers endroits de la ville. J’ai pu ainsi découvrir deux expositions encore ouvertes durant ma période de visite. L’exposition Vlan 77 ans de BD dont vous pouvez lire l’article qui lui est dédié en cliquant ici . Ainsi que l’exposition au musée de l’imprimerie Bande dessinée : l’Art Invisible que vous pouvez découvrir en cliquant ici .

Un poumon vert, ouvert à tous

Je ne suis pas adepte des animaux en captivité, mais cette panthère de l’amour était fascinante à voir dans ses mouvements et son agilité. Je ne sais toujours pas comment j’ai réussi à la saisir. Dès notre arrivée, sa cousine Lionne, dans un autre espace, s’était réfugiée à l’abri des regards. Ce que la panthère a fini par faire, peut-être trop lasse, elle aussi, de voir le défilé des badauds attendant son passage. Juste pour la petite histoire, le Zoo de Lyon est l’un des rares à avoir vu une naissance il y a 4 ans. Quand on sait qu’il y a à peu près une trentaine d’animaux de cette espèce dans la nature, les anti-zoos y verront peut-être là une maigre consolation, en saluant le rôle de préservation d’une espèce animale.

Je vous ai naturellement fait grâce de tout ce qui n’entrait pas directement dans le champs de la création. Et je ne me suis pas étendu sur d’autres lieux intéressants de la ville. Les galeries d’art sont peu nombreuses mais restent dans l’ensemble intéressantes. Un second voyage s’impose, mais en attendant je ne peux que vous conseiller d’aller à la rencontre de Lyon. Avoir la chance de pouvoir prendre une carte, choisir un itinéraire et s’y perdre. Je sais qu’il y a d’autres points intéressants autour de la ville et que de nombreux ateliers d’artistes mériteraient une halte. Cependant, mes activités professionnelles ne me permettent pas de disposer d’assez de temps pour voir une ville de fond en comble.

Si j’habitais à Lyon, je dessinerais régulièrement au musée des Beaux-Arts, j’écrirais mes articles au parc de la Tête d’Or et je passerais d’une expo à l’autre comme je le fais au quotidien. Découvrir une ville équivalente à celle dans laquelle on a l’habitude de travailler est assez étonnant. Je n’ai pas senti de dépaysement en passant d’un arrondissement à l’autre, ce qui en soi n’est pas négatif. J’ai fortement ressenti cette vivacité économique qui permet à des entreprises de se développer et par conséquent à des créatifs de proposer de nouvelles pistes de réflexion. Les nombreux espaces de co-working, les ateliers d’artistes, les agences de création que j’ai aperçus à de nombreuses reprises sont des signes pour moi de dynamisme culturel. Au même titre que les nombreuses expositions et autres réjouissances artistiques que j’ai aperçues. D’une journée à l’autre, les distances sont parfaitement assimilables à pieds, sans avoir cette impression de faire « les chemins de Compostelle » . En réalisant le nombre de kilomètres parcourus sur ce séjour, je me suis aperçu que la distance était équivalente à un Paris-Beauvais…

Toutes ces appréciations ne m’ont donné qu’un bref aperçu d’une ville qui doit cacher encore bon nombre de points d’intérêts, et que je ne manquerai pas de découvrir un jour ou l’autre. D’ici là, faites-vous votre propre opinion et n’hésitez pas à m’informer des futurs événements artistiques. A 2h de Paris, la distance n’est définitivement pas un obstacle.

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Carnet de Voyage: Love for Lyon

Travel notes from the real France.  Carnet de Voyage is a weekly personal travel story in France sent in by readers. If you’d like to write a story for Carnet de Voyage, head  here  for details on how to submit .

Greetings from Lyon, the gastronomic capital of France! As I sit in a charming boulangerie , sipping on a café noisette , I am compelled to share the culinary delights that have captivated my senses in this picturesque city. Lyon’s food scene is a symphony of flavors, a culinary crescendo that echoes through its cobbled streets and historic traboules.

Let me take you on a gastronomic journey, starting with the morning rituals that make Lyon’s breakfast a ritual worth savoring. Imagine waking up to the aroma of freshly baked croissants wafting through the air, drawing you to a local boulangerie . The golden, flaky layers of the croissant give way to a buttery interior that melts in your mouth, accompanied by the perfect espresso to kickstart your day.

As the day unfolds, I venture into Les Halles de Lyon, a bustling indoor market that is a food lover’s paradise. Stalls laden with vibrant produce, artisanal cheeses, and the freshest catch of the day create a kaleidoscope of colors. My senses are in overdrive as I sample local specialties like the saucisson sec and I indulge in a sensory overload as I pass the cheese vendors. The market is a lively spectacle, where locals and tourists alike gather to celebrate Lyon’s culinary heritage.

For lunch, I’d recommend losing yourself in the narrow streets of Vieux Lyon, the city’s historic district. Here, bouchons , traditional Lyonnais bistros, beckon with their cozy ambiance and hearty fare. Picture yourself seated at a checkered tablecloth, surrounded by the convivial chatter of locals. Order a classic quenelle de brochet , a delicate fish dumpling swimming in a creamy crayfish sauce, or relish the simplicity of a salade Lyonnaise , with crisp lardons and a perfectly poached egg.

After a leisurely lunch, take a stroll along the banks of the Rhône River and work up an appetite for the evening’s culinary exploration. Lyon’s renowned chefs have earned the city its Michelin stars, and for dinner, I recommend a visit to Paul Bocuse’s iconic L’Auberge du Pont de Collonges. The culinary maestro’s legacy lives on in every exquisitely crafted dish, from the legendary truffle soup to the succulent Bresse chicken. The dining experience is nothing short of a gastronomic pilgrimage, a homage to the culinary artistry that defines Lyon and, as a whole, France.

As the sun sets over the city, I explore the traboules —hidden passageways that wind through the heart of Lyon. These secret alleys reveal glimpses of the city’s history and offer a magical backdrop for an evening stroll. Along the way, I even discover hidden wine bars where locals gather to share stories over a glass of Côtes du Rhône perhaps. I make a menta note to return here for an apéritif !

No visit to Lyon would be complete without sampling the city’s sweet side. Indulge your sweet tooth with a visit to a traditional pâtisserie for tarte aux pralines—a decadent pastry filled with pink almond and sugar-coated pralines that add a delightful crunch.

In Lyon, each meal is a celebration, each bite a revelation. The city’s food scene is a love letter to the senses, a testament to the artistry that unfolds in its kitchens. I wish you could join me on this culinary odyssey, where every dish tells a story, and every flavor lingers like a cherished memory.

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Lead photo credit : Lyon by night © prochasson frederic / shutterstock

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