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Guide Voyage Zéro Carbone

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Voyager sans avion en Europe et même plus loin ? C'est possible pour tous les voyageurs.

• Lonely Planet propose des idées de périples clés en main, du week-end à Bristol au circuit de plusieurs semaines passant par l'Italie, la Grèce et Istanbul.
• Une façon écolo de concevoir ses vacances, et une nouvelle manière de voyager, pleine de surprises (ou quand le trajet offre autant d'étapes à visiter..).
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• Un train de nuit vers Édimbourg et les îles écossaises, le Danube à vélo, un tour des cités andalouses, une incursion dans les Cinque Terre… les destinations les plus emblématiques d'Europe s'offrent à vous sous un nouveau jour en train, à vélo ou par la mer.
• Et au-delà, jouez à saute-mouton par-dessus les frontières en visitant par exemple Munich, Belgrade et le Montenegro lors d'un même voyage, ou en rejoignant le lac de Bled depuis Venise en passant par Trieste et Ljubljana…
• Quelques itinéraires proposent d'aller plus loin en embarquant pour le Maroc ou la Tunisie par exemple.
• Toutes les infos concrètes sur les différentes étapes, jusqu'au retour en France.
• Pour chaque voyage, un calcul de l'empreinte carbone, du budget transports, de la distance et du nombre de nuits.
• Une carte de chaque périple, et des suggestions pour prolonger son voyage.
• Référence 10239440

Lonely Planet

Editions Lonely Planet

9782816187977

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80 itinéraires clés en mains sans avion ni voiture, en Europe et au-delà Voyager sans avion en...

• Résumé

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La rentrée est souvent synonyme de salve d’achats pour toute la famille. Mais dans un contexte économique d’inflation, cela peut vite peser sur le budget… Alors nous vous proposons ici 5... Lire la suite

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Coups de cœur Fnac

Voyages zéro carbone (ou presque)....

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Tellement de pays magiques à visiter à portée de train, à méditer avant de partir passer une semaine en club à l'autre bout du monde ! Les voyages proposés ne sont pas nouveaux, mais on oublie parfois qu'à côté de chez... Lire la suite

Très intéressant cet achat de livre de voyage hors du commun

Pareil pour ce bon achat l’aventure est au bout de la lecture

Décevant

Pas assez cible Il y a bcp de choses, ensemble peu precis. Bref un livre difficilement exploitable

Super, rien que pour l'idée !!!

Les informations de voyage, pour la partie transport, sont sobres, mais informatives suffisamment pour donner l'envie de faire un effort supplémentaire pour la planète !!! Je ne regrette pas mon achat

Un livre bien conçu

Ce livre est bien mis en valeur sur le stand, ce qu'il mérite

Cadeau a plu

Mon amie était ravie du cadeau

Passionnant et riche d'idées.

Passionnant et très riche d'idées !

Voyage zéro carbone

De très bonnes propositions ! Bravo

Impeccable !

Le cadeau a plu à son destinataire, c'est parfait !

Très intéressant

Indispensable pour voyager en respectant les enjeux climatiques

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Caractéristiques

9782384923601

Photos noir et blanc

16,40 x 21,00 cm

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VOYAGE 0 CARBONE

Sorti en 2020, j'ai découvert ce livre en pleine pandémie mondiale et je suis vite tombée sous le charme de cette oeuvre si bien ficelée !

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MAJORQUE : HOTEL CORAZÓN

Genève : "exhibition" du 08/03/24 au 18/04/24, espagne : camiral, seal legacy, special los angeles, plan your holidays, maroc : izza, maldives : so/, seoul : shilla, kim sung-il, botswana : atzaró okavango camp, special mexico city, ella maillart - du 7 décembre 2023 au 21 avril 2024, marilyn silverstone, tori retreats, the yin and yang of gerry lopez, botswana : tawana, mozambique : ilha caldeira, zanzibar : ycona luxury, allemagne : bootshaus, italie : sikelia pantelleria, jane goodall institute, new-york : ilis, world travel awards, corée du sud : kukje gallery, italie : palazzo petrvs, corée du sud : grand josun jéju hotel, italie : san michele, the bahamas : the turtle bungalow, thaïlande : aman cabana, pérou : titilaka, mexico : bacalar, greece : gundari, wild immersion, bâle / fondation beyeler: jeff wall du 28 janvier au 21 avril 2024, kenya : safaris 2024, les etoiles de la terre, tanzania : whites and villas, norvege: norrøna canvas telemark, georgiana viou, espagne : solo houses, arctic : horizon - du 16 juillet au 4 août 2024, swiss made label, mexique : boca de agua, inspiration maroc, la sagesse de la pieuvre, paris : ruth orkin du 19-09-2023 au 14-01-24, special cyclades part 2, majorque : kimpton aysla, everest : trekking, special six senses & le voyageur partenariat, the long run, paris : mark rothko du 18/10/23 au 02/04/24, yotam ottolenghi, paris: sophie calle du 03/10/23 au 07/01/24, italie: vocabolo moscatelli, normandie : week-end, jack pierson - du 07/09/23 au 14/10/23, special afrique du sud : cape town, special cyclades part 1, special aman resorts, special norvege, barcelone & madrid : estimar, new york : richard gilder center, rome : six senses, tunis : alain nahum, mexique : careyes, au plus profond, londres : censored art today, sbondaba dance, afrique du sud : tswalu, malte : six senses, special safaris en afrique du sud, zürich : kunsthalle, portugal : six senses douro valley, poulet a la moambe, au pays des dieux: shiva, enzo maiorca said..., week-end à paris , bordeaux : kapwani kiwanga, hongrie : o.z.o.r.a., montenegro : mamula island, harold feinstein, van morrison, amsterdam : stedelijk, life at sea, londres : st. john, arles : rencontres de la photographie, special spas allemands, mexique: rosewood mayakoba, peter lindbergh, shutter island, adriana varejão, gnocchis à la toscane, extinction rebellion, zurich : kunsthaus, partager....

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Voyages zéro carbone : comment allier plaisir et écologie ?

Table des matières, 1. une randonnée dans les alpes autrichiennes ou suisses, 2. des vacances balnéaires sur une île paradisiaque au large des côtes turques ou grecques, 3. voyage zéro carbone : un circuit à vélo en italie du nord ou en espagne, 4. un voyage en bateau le long de la côte européenne, de l'espagne à la grèce, 5. une visite historique et culturelle de paris, londres ou rome sans voiture ni avion.

Nous avons établi une liste de 5 idées de voyages à empreinte carbone nulle . Tous ces voyages peuvent être effectués sans prendre l'avion ou la voiture et ils se situent en Europe.

Première suggestion, une marche dans l'une des Alpes autrichiennes ou suisses . En effet, les montagnes offrent un cadre naturel superbe. De plus, cet itinéraire est très populaire auprès de la plupart des voyageurs. Les paysages sont vraiment spectaculaires (très beaux panoramas) et il y a toujours quelque chose à découvrir : cascades, châteaux forts, parcs nationaux... Quelle que soit votre motivation pour aller en montagne - randonnée pédestre/VTT, ski, alpinisme, luge ou simplement pour admirer les paysages - cet itinéraire est fait pour vous. Le plus grand avantage de ce voyage ? Il est zéro carbone ! Vous n'avez pas besoin de prendre l'avion ni la voiture et vous serez en pleine nature. Si vous voulez découvrir une région montagneuse européenne sans polluer votre environnement, cette suggestion est faite pour vous.

Par ailleurs, pour aller dans les Alpes autrichiennes ou suisses, il y a différents moyens de se déplacer. Vous pouvez voyager en train ou en autocar.

Si vous recherchez un lieu de villégiature au soleil, pourquoi ne pas opter pour une île sans voitures ? Les îles grecques et turques offrent des paysages à couper le souffle avec leurs eaux cristallines. De plus, les transports en commun y sont très développés ce qui vous permettra de rejoindre facilement votre hôtel situé sur la plage.

Certes, le voyage en bateau peut prendre un certain temps, mais cela vaut largement le coup de passer des vacances dans un endroit aussi paradisiaque. Pour les amateurs de trekking et de randonnées pédestres, de nombreuses îles offrent également des sentiers à travers la nature. La découverte des villages typiques situés sur les différentes îles est également une expérience inoubliable.

Si vous préférez plutôt les vacances actives, pourquoi ne pas opter pour un circuit à vélo en Italie du Nord ou en Espagne ? Ces pays offrent de magnifiques routes et pistes cyclables qui serpentent à travers des paysages pittoresques . Si vous choisissez l'Italie du Nord, vous aurez la possibilité de découvrir les villes d'art telles que Venise, Florence et Milan. En Espagne, optez plutôt pour une balade le long de la Méditerranée et visitez Barcelone, Séville et Grenade.

Les deux destinations sont à la fois écologiques et culturelles, ce qui en fait des choix idéaux pour des vacances zéro carbone. En plus de faire du vélo, il est également possible de se déplacer à pied ou en bateau dans ces régions. Les options de transports locaux étant limitées, cela contribue encore à réduire les émissions de CO₂. De plus, la plupart des hôtels zéro carbone proposent des services tels que le recyclage et l'utilisation d'ampoules basse consommation.

Optez pour une croisière le long de la côte européenne, depuis l'Espagne jusqu'à la Grèce par exemple. Pas besoin de prendre l'avion ni la voiture, les bateaux sont éco-friendly et vous feront découvrir des paysages éblouissants ! Vous pourrez déambuler à bord du voilier, pendant des centaines de kilomètres le long des côtes européennes en admirant les paysages magnifiques qu'offre la mer Méditerranée ou l'Atlantique… De nombreuses compagnies proposent des voyages allant d'Espagne à la Grèce, en passant par l'Italie et le Monténégro. Ces traversées zéro carbone offrent une grande variété de paysages à admirer , ainsi que des plages paradisiaques pour vous baigner. De plus, vous pourrez découvrir de nombreuses villes et villages côtiers. Les bateaux électriques ou à voile sont les modes de transport zéro carbone les plus écologiques. Si vous choisissez ce type de voyage, veillez à ne pas utiliser trop d'énergie et privilégiez des hébergements zéro carbone.

Ce qui fait la spécificité de cette destination, c'est que les vacanciers peuvent visiter des lieux historiques et culturels sans utiliser ni la voiture ni l'avion. Vous pourrez découvrir des monuments emblématiques comme la Tour Eiffel, Big Ben ou encore le Colisée.

Il existe plusieurs solutions zéro carbone qui permettent de visiter ces villes sans prendre l'avion ni la voiture. Il y a par exemple les bus électriques et à hydrogène, bateaux zéro carbone, taxis zéro carbone ... Enfin, vous pouvez aussi choisir d’emprunter votre propre bicyclette ou de même marcher ! Les trois villes citées ici offrent en effet un large choix d'activités touristiques qui plairont à tous les types de voyageurs. Vous pouvez expérimenter ces itinéraires clés en main en tant que voyageur solo, en famille ou entre amis, ou en tant que couple à la recherche de quelque chose de nouveau à faire ensemble.

Ces itinéraires sont parfaits si vous êtes à la recherche de vacances passionnantes , mais que vous souhaitez réduire le temps que vous passez dans votre voiture ou dans un avion.

Comme vous pouvez le constater, il existe de nombreuses façons de voyager en respectant l'environnement. Ce n'est pas difficile quand on sait comment et par où commencer.

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Let customers speak for us

Quelques traces du a un emballage carton et des livreurs peu soigneux mais sav très efficace

Plutôt bien à l’air solide à voir si les roues tiennes elles ont l’air moyenne

J’ai utilisé la valide deux fois. Lors de la deuxième fois, un des zip de la grande poche c’est défait sans que je tire fort et la couture entre le maintien ferme et le tissu du zipped extérieur de la valise c’est complètement enlevé ! La couture a été faite trop près du bord. Qualité médiocre

Nous sommes désolés d'apprendre que vous avez eu une mauvaise expérience avec notre valise. Nous prenons note de votre commentaire sur la qualité du produit et nous nous excusons pour tout désagrément causé. Votre satisfaction est notre priorité et nous allons faire remonter cette information à notre équipe de production afin d'améliorer la qualité de nos produits. N'hésitez pas à nous contacter si vous avez besoin d'aide pour résoudre ce problème.

Cordialement, L'équipe de American Travel

On m’a livré une valise large avec la mauvaise référence donc ce n’est pas ce j’avais commandé, j’ai dû la renvoyer pour qu’on m’envoie la bonne référence ce qui m’a coûté du temps.

Je pensais que cette besace était un peu plus grande.

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Des vacances zéro carbone ?

Partir en vacances sans émettre de dioxyde de carbone (CO2) relève de la gageure. Mais en continuant à suivre quelques gestes simples de son quotidien habituel, le vacancier peut limiter au maximum son bilan carbone.

• Geoffrey Lopes ,
• le 09/08/2019 à 10:04
• Modifié le 09/08/2019 à 11:47

Lecture en 3 min.

Se détendre sur un hamac avec un livre : zéro émission de carbone.

Photographee.eu/Stock Adobe

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« Le tourisme zéro émission, c’est rester chez soi » , s’exclame un utilisateur de Facebook sur un groupe écologique. « Ou alors c’est voyager à vélo ou à pied, beaucoup de sous-prolos font ça chaque année sans avoir de convictions écologiques » , répond un autre. Les membres s’invectivent et un modérateur intervient rapidement pour clôturer le sujet de discussion. Les méfaits écologiques du tourisme – environ 8 % des émissions mondiales de CO2, soit 4,5 milliards de tonnes chaque année – déchaînent les passions.

Adrien Couzinier, formateur bilan carbone pour l’association Avenir climatique, habite dans un petit village de Savoie. Il fait sans cesse attention à sa production de gaz à effet de serre au travail comme en vacances. Il a décidé d’éliminer la voiture de son usage personnel. Il en reconnaît toutefois l’utilité pour avaler de longues distances : « Je pars toujours en vacances en covoiturage. Je prends le train ou mon vélo électrique pour retrouver mon conducteur. »

Plus loin plus longtemps

Pour rejoindre un ami dans le Médoc, il a dû emprunter un train express régional (TER) du massif des Bauges jusqu’à Lyon, un covoiturage pour joindre Bordeaux et un autre TER pour atteindre le Médoc, avant que son ami le récupère dans une petite gare en voiture. C’est long et fastidieux mais ça n’effraie pas Adrien : « Ce sont des contraintes supplémentaires mais ça me permet de garder un bilan carbone minimal, 40 % inférieur à la moyenne française. Un aller-retour Paris-New-York en avion, par exemple, c’est la consommation moyenne d’un Français sur un an ! »

Le transport totalise 70 % des émissions de gaz à effet de serre liées au tourisme. Selon Caroline Mignon, directrice de l’Association Tourisme équitable et solidaire, cela suffit à affirmer qu’un touriste n’émettant aucun CO2 n’existe pas. « On ne doit pas s’empêcher de vivre pour autant » , glisse-t-elle « Simplement, si vous partez loin, partez plus longtemps pour rentabiliser le voyage en avion désastreux pour l’environnement » , suggère-t-elle.

Au-delà du transport, l’alimentation, la température des bâtiments et le commerce de produits neufs forment les trois autres piliers du bilan carbone. La viande rouge, les produits laitiers et l’alcool concentrent la majorité des gaz à effet de serre agricoles. En vacances, Caroline Mignon garde ses habitudes de consommation : « Je mange des produits locaux, frais, ni transformés ni transportés. Cela permet dynamiser le territoire, tout en me nourrissant avec des aliments de bonne qualité nutritionnelle. »

Cette responsable associative reconnaît néanmoins qu’il reste difficile de vérifier que les restaurateurs respectent les circuits courts et pêchent sans racler les fonds marins. « Il existe des applications à l’instar d’Ecotable qui vous permettent de signaler des restaurants respectueux de l’environnement mais elles ne sont pas encore toujours vérifiées par des utilisateurs sérieux. »

Bannir les activités motorisées

Pour se loger, Caroline Mignon recommande de choisir un hébergement labellisé « Clef verte » ou « Agir pour un tourisme responsable » (ATR). « Il existe une trentaine de labels. Ils certifient des bâtiments correctement isolés, peu énergivores, éclairage aux ampoules LED avec détecteur de présence, chauffage en géothermie, etc.. » Elle prévient : « Cela n’a pas de sens d’aller dans un grand complexe hôtelier avec piscine dans un pays qui manque d’eau. En vacances, on surconsomme souvent ce que l’on ne paye pas. On utilise ainsi deux fois et demi plus d’eau que chez soi. »

Beaucoup d’initiatives isolées fleurissent autour de logements en bois ou cabanes dans les arbres. Mais elles ne répondent pas à la demande touristique, d’après Caroline Mignon : « Cela reste anecdotique. Cela ouvre une voie mais il faut travailler avec des établissements plus grands », considère-t-elle.

Une fois installée, Caroline privilégie les activités sportives et met de côté ce qui pollue et fait du bruit. « Il existe plein de manières de se faire plaisir, même si on aime les sensations : parapente ou rafting, lieux insolites à découvrir en randonnées ou activités d’eau vive. » Adrien abonde : « Je joue à la pétanque avec des amis, je fais beaucoup de sport, de la musique en groupe… » L’utilisation intensive de crème solaire ne le fait pas tiquer : « Un pot de crème ne représente pas grand-chose dans le bilan carbone. »

Globalement, l’industrie touristique ne se préoccupe pas de l’environnement. Un hôtel danois offre bien un repas à ses vacanciers qui pédalent 15 minutes sur un système qui produit de l’électricité.

Mais cette décompensation carbone n’efface pas les tonnes de gaz à effet de serre déjà produites. Philippe Rossello, coordinateur du groupe d’experts sur le climat de Provence-Alpes-Côte-d’Azur (PACA), regrette que le tourisme soit « mal armé » face au changement climatique. « Aucun dispositif n’existe en PACA pour limiter les émissions de CO2. Aujourd’hui, les acteurs du tourisme cherchent à tout prix à maintenir leurs revenus. »

Des citoyens commencent néanmoins à s’organiser, notamment en montagne, pour préserver leur écosystème et sensibiliser les touristes. En Suède, la « honte de l’avion » prend de l’ampleur. Autant de phénomènes qui rassurent Adrien : « Aujourd’hui un bon bilan carbone, ce n’est pas très valorisant. Mais ça deviendra bientôt une norme sociale positive et admise. »

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Découvrir le monde de façon plus écoresponsable

Nous voyageons pour satisfaire notre curiosité, découvrir de nouvelles choses et faire de nouvelles rencontres. Nos expériences de voyage font de nous qui nous sommes.

VOYAGER A UN IMPACT SUR L'ENVIRONNEMENT

Il est temps de réfléchir à l'impact de nos voyages sur l'environnement

Les émissions de gaz à effet de serre, parfois appelées émissions de carbone ou CO₂e (équivalent dioxyde de carbone), comprennent le dioxyde de carbone (CO₂), le méthane (CH₄), le protoxyde d'azote (N₂O) et d'autres gaz.

Source : EPA

Source Nature

Source Nature et IEA

DES CHOIX PLUS ÉCORESPONSABLES

Nous pouvons agir lorsque nous préparons nos voyages

UNE ACTION COLLECTIVE

50 % des voyageurs privilégient des options plus écoresponsables

Source Booking.com

Nos choix en matière de voyage et les changements opérés par le secteur contribuent à un avenir respectueux de l'environnement

Voler pendant deux heures au lieu de six permet de réduire les émissions de 65 % par passager

Les émissions sont calculées par passager. Plus un vol compte de passagers, moins la part d'émission de chaque passager est importante.

• Comment y aller
• Où séjourner

Choisir sa destination

DES DESTINATIONS PLUS RESPECTUEUSES DE L'ENVIRONNEMENT

Explorer les environs

Aventures à proximité

Explorez ce qui vous entoure. Rendez vous dans un musée ou un parc où vous n'êtes jamais allé.

Voyages à proximité

Pensez à des destinations plus proches et partez à la découverte de villes, régions ou pays voisins.

Destinations plus éloignées

Si vous voyagez loin, privilégiez les trajets directs ou partez moins souvent pour limiter votre temps de voyage.

Choisir comment voyager

DES TRANSPORTS PLUS RESPECTUEUX DE L'ENVIRONNEMENT

Alternatives à l'avion

Moins prendre l'avion

Lorsqu'ils brûlent du carburant, les avions émettent du dioxyde de carbone et des gaz à effets de serre équivalents (CO₂e). Moins prendre l'avion ou ne pas le prendre du tout permet d'éviter ces émissions. Cela réduit l'impact environnemental de votre voyage.

Prendre le train ou le bus

Les vols pour des destinations à proximité sont particulièrement inefficaces. Envisagez plutôt de prendre le bus ou le train pour un trajet court. Sur une distance similaire, ces modes de transport produisent moins d'émissions que les avions car ces derniers consomment plus du carburant. Les bus ou trains électriques qui utilisent des sources d'énergie sans carbone sont particulièrement respectueux de l'environnement, car ils ne brûlent pas de combustible fossile.

Voyager en voiture

Par rapport au bus, la voiture génère plus d'émissions par personne, car elle transporte moins de passagers. Elle reste malgré tout plus respectueuse de l'environnement que l'avion.

4 kg de CO₂e 4 kg de CO₂e Le CO₂e (équivalent dioxyde de carbone pour un gaz à effet de serre) est l'unité de mesure utilisée pour les émissions. Celle-ci estime l'impact des gaz à effet de serre dans leur ensemble, en regroupant des gaz autres que le CO₂. × Par passager, sur 100 km

19 kg de CO₂e 19 kg de CO₂e Par passager, sur 100 km

25 kg de CO₂e 25 kg de CO₂e Par passager, sur 100 km

Source Our World in Data

Plus un mode de transport compte de passagers et plus il est économique en carburant, moins son impact environnemental par passager est important.

Comparer les options de vol

Il n'est pas toujours possible d'éviter l'avion lorsque la destination est éloignée. mais vous pouvez réfléchir aux vols que vous prenez : certains polluent moins que d'autres..

Préférer des vols directs

Choisir la classe économique

Penser à la consommation de carburant

Contribuer aux solutions pour le climat

Comparer les émissions des vols

Distance en général, les vols courts consomment moins de carburant et génèrent moins d'émissions. ×, escales en général, moins il y a d'escales, moins la consommation de carburant et les émissions générées sont importantes. ×, classe de réservation moins votre place occupe d'espace, moins "votre part" d'émissions est importante pour un vol. ×.

Les émissions sont mesurées en CO₂. CO₂ signifie dioxyde de carbone. Les valeurs des émissions sont indicatives et ne reflètent pas des voyages précis. Découvrir comment sont estimées les émissions

Source utilisée concernant les conversions pour les arbres et l'électricité : EPA .

• Électricité

Caractéristiques des avions qui influencent les émissions

Consommation en carburant de l'appareil

Les avions modernes consomment moins de carburant que les anciens modèles. Les économies de carburant réduisent les émissions d'un vol.

Agencement des sièges

L'agencement des sièges varie selon le type d'avion et la compagnie aérienne. Plus un avion compte de places, moins la part d'émissions de chaque passager est importante.

UN AVENIR RESPECTUEUX DE L'ENVIRONNEMENT

Beaucoup d'entreprises du secteur touristique s'engagent à adopter des pratiques écoresponsables parallèlement à nos petits gestes du quotidien

En investissant dans de nouvelles infrastructures, en étendant leurs lignes ou en s'engageant à utiliser des énergies sans carbone, les compagnies ferroviaires facilitent les voyages plus écoresponsables.

Les compagnies aériennes continuent d'investir dans des appareils économes en carburant ou dans un aménagement efficace des sièges pour réduire leur impact environnemental. Certaines soutiennent financièrement des projets d'élimination du dioxyde de carbone dans l'air, tandis que d'autres investissent dans la recherche sur les carburants durables pour l'aviation.

Agences de voyages

De plus en plus d'hébergements et d'agences de voyages en ligne s'engagent à adopter des pratiques plus écoresponsables. Leurs engagements sont généralement consultables en ligne.

Choisir où séjourner

DES HÉBERGEMENTS PLUS RESPECTUEUX DE L'ENVIRONNEMENT

PRATIQUES EN FAVEUR DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

Pratiques écoresponsables et écocertifications

Les hébergements voient ces pratiques comme des opportunités de réduire leur impact environnemental., efficacité énergétique.

Protection de l'eau

Réduction des déchets.

Approvisionnement durable

Écocertifications reconnues.

Les hébergements peuvent également obtenir des écocertifications. Pour qu'ils soient reconnus comme étant écocertifiés sur Google, leurs certifications doivent être validées par des organisations indépendantes.

Que fait Google pour apporter son aide ?

SUSTAINABLE WITH GOOGLE

LES CONTRIBUTIONS DU SECTEUR

DES VOYAGES PLUS RESPECTUEUX DE L'ENVIRONNEMENT

DES NORMES MONDIALES EN MATIÈRE DE DÉVELOPPEMENT DURABLE

Comparateur de transports

Comparateur de transports beta, comment fonctionne ce comparateur .

Ce calculateur vous permet de comparer, pour n'importe quelle origine et destination (départ - arrivée) :

• La quantité de CO2e émise
• Le temps de trajet
• Une estimation du prix

Et ce pour 6 modes de transport différents : vélo, train, autocar, voiture thermique, voiture électrique et avion. S'il vous en faut plus, n'hésitez pas à nous écrire, c'est peut-être pour bientôt ;)

(1) CO2 : comment sont calculées les données ?

Le comparateur transports GreenGo affiche 2 métriques CO2 différentes pour un trajet donné :

• Les émissions de CO2e (CO2-équivalent) par personne , exprimées en kilogrammes pour chaque mode de transport
• Le % de quota CO2e par personne (%) : pourcentage du quota CO2 théorique par an et par personne, afin de limiter le réchauffement à moins de 2°C à horizon 2100, soit 2 tonnes de CO2. Ce pourcentage est obtenu en divisant les émissions de CO2e par 2 tonnes.

De manière générale :

• Calcul : les émissions de CO2e sont calculées en multipliant la distance par le facteur d'émission (FE) du transport correspondant (distance x FE). Le quota % en est déduit en divisant par 2 tonnes. Dans le cas d’un trajet aller-retour, les émissions sont celles du trajet complet aller-retour.
• Distance : les distances sont estimées en agrégeant diverses solutions technologiques, comme Google Maps ou Tictactrip par exemple.
• Facteurs d'émissions : les facteurs d'émissions sont majoritairement issus de l'ADEME, via la Base Empreinte et le simulateur Mon Impact Transport d’Impact CO2. Plusieurs facteurs d'émissions peuvent s'appliquer pour un même mode de transport (par ex train TER vs. TGV, avion court vs. long courrier etc.). Plus de détails ci-dessous.
• Périmètre des émissions : Sont incluses les émissions directes, la construction des véhicules (fabrication, maintenance et fin de vie) et la production et distribution de carburant et d'électricité. La construction des infrastructures (routes, rails, aéroports...) n'est pas incluse.
• Nombre de personnes : le nombre de passagers est également pris en compte dans le calcul des émissions et influe principalement sur l'affichage des résultats dans le cas de la voiture, les données étant présentées par personne et non dans l'absolu.

Principales hypothèses retenues pour chaque mode de transport, concernant l'estimation des émissions de CO2 (non exhaustif) :

• Vélo (non électrique) : l'impact carbone de la fabrication du vélo est considérée comme négligeable (source :  Impact CO2 ).
• Train : pour les trajets en France, le facteur d'émission retenu est différencié selon le type de train utilisé : TGV 3.3 gCO2e/pers.km, Intercités 5.9 gCO2e/pers.km, TER 31.7 gCO2e/pers.km, RER/Transilien 9.4 gCO2e/pers.km, métro 4.0 gCO2e/pers.km (source : données 2021 de la  Base Empreinte  de l’ADEME). Les facteurs d'émissions sont également différenciés pour la plupart des pays d'Europe lorsque disponibles (voir ADEME Base Carbone, les pays sont en cours d’intégration), à défaut, le facteur d’émissions par défaut est celui de la France. Le trajet en train utilisé pour la distance est le trajet le plus court en temps à ces dates.
• Bus : le facteur d'émission utilisé est celui de l’item « Autocar » de l'ADEME, soit 29.4gCO2e/pers.km (source :  Impact CO2 ) . Il n'est pas différencié selon le type de bus ou le taux de remplissage. Le trajet en bus utilisé pour faire le calcul est le trajet le plus court en temps à ces dates.
• Voiture électrique : le facteur d'émission utilisé est celui de l'ADEME, pour un véhicule coeur de gamme compact, soit 103.4 gCO2e/km (source :  Impact CO2 ) , étant noté que 80% des émissions de ce facteur sont liées à la fabrication du véhicule (83.6 gCO2/km), pour seulement 20% à son utilisation (19.8 gCO2/km). Dans le cas d'un trajet à plusieurs personnes, le même facteur d'émission est utilisé, avec des émissions divisées par le nombre de personnes (impact du poids des personnes négligé).
• Voiture thermique : le facteur d'émission utilisé est celui de l'ADEME, pour un véhicule diesel coeur de gamme compact, soit 217.60 gCO2e/km (source :  Impact CO2 ) , étant noté que 88% des émissions de ce facteur sont liées à l'utilisation du véhicule (192.0 gCO2e/km) et 12% à sa fabrication (25.6 gCO2e/km).
• Avion : les facteurs d'émission sont issus de l'ADEME (source :  Impact CO2 ) . Ils incluent les effets de traînées et sont différenciés selon la distance : court courrier (< 1000km) 258gCO2e/pers.km, moyen courrier (1000-3500km) 187gCO2e/pers.km, long courrier (> 3500km) 152gCO2e/pers.km. Les facteurs ne sont pas différenciés selon le type d'avion utilisé, le type de carburant, la compagnie aérienne ou le taux de remplissage effectif. Le vol utilisé pour le calcul est celui le plus susceptible d’être choisi par le voyageur à ces dates, selon des critères de prix, nombre d’escales et temps. 

Cas particuliers :

• Cas du porte-à-porte : lorsque la case "Afficher les trajets porte-à-porte" est cochée, les émissions de l'intégralité du trajet d'un point A à un point B sont calculées. Ainsi, un trajet en train ou en avion peut par exemple inclure un trajet en voiture ou en transport en commun pour les premiers ou derniers kilomètres, avec les émissions CO2e correspondantes.
• Cas des trajets incluant un ferry : lorsque le trajet inclut une portion en ferry, un facteur de 300 gCO2e/pers.km est retenu pour la portion (source : calculateur Bon Pote / futur.eco).

(2) Temps : comment sont calculées les données ?

• Le temps est estimé à partir de plusieurs solutions technologiques (APIs) pour les différents modes de transports (Tictactrip, Google Maps, ViaMichelin...)
• Le temps est affiché uniquement pour le trajet aller.
• Le temps inclut également les temps d'attente en gare ou en aéroport pour le départ et l'arrivée (marge de sécurité pour le départ + temps d'attente des bagages pour l'avion) selon le schéma suivant : 15 min pour le train ou bus (autocar), 1h15 pour un avion court courrier, 1h45 pour un moyen courrier et 2h30 pour un long courrier.
• Lorsque la case "Afficher les trajets porte-à-porte" est cochée, le temps affiché vaut pour l'intégralité du trajet (premiers et derniers kilomètres inclus, en transports en commun si disponible, en voiture sinon). 
• Lorsque la case "Afficher les trajets porte-à-porte" n'est pas cochée, le temps affiché vaut seulement pour les trajets gare à gare (train, bus) ou aéroport à aéroport (avion), temps d’attente en gare ou en aéroport inclus.

Spécificités selon les modes de transports : 

• Train et bus : nous affichons le temps des trajets en train ou bus les plus courts en temps à ces dates.
• Avion : nous affichons le temps du vol le plus susceptible d’être choisi par le voyageur à ces dates, selon des critères de prix, nombre d’escales et temps.

(3) Prix : comment sont calculées les données ?

• Le prix est estimé à partir de plusieurs solutions technologiques partenaires (APIs) pour les différents modes de transport, par exemple et non-exhaustivement : Tictactrip, Google Maps…
• Dans le cas d'un trajet aller-retour, le prix aller-retour est affiché.
• Le prix concerne uniquement le trajet et n'inclut pas l'achat ni l'entretien des différents véhicules.

Prix affichés et principales hypothèses retenues pour chaque mode de transport (non-exhaustif), concernant les prix  :

• Vélo : le prix est considéré comme nul en règle générale (pas de péages, achat / entretien et ravitaillement non inclus).
• Train : pour une journée et un trajet donné, le prix minimum trouvé et le prix moyen s'affichent (idem pour un aller retour sur aller + retour). Les prix affichés sont les prix standards, hors cartes de réductions éventuelles (avantage adulte, famille, etc.) et peuvent donc se révéler plus avantageux dans les faits selon les cas. 
• Bus : pour une journée et un trajet donné, le prix minimum trouvé et le prix moyen s'affichent (idem pour un aller retour sur aller + retour). Les prix affichés sont les prix standards, hors cartes de réductions éventuelles.
• Voiture électrique : le prix affiché inclut les frais de recharges pour un trajet en Europe (estimés à 0.10€ / km pour des trajets sur autoroute), ainsi que les péages.
• Voiture thermique : le prix affiché inclut l'essence ainsi que les péages.
• Avion : le prix affiché est celui du vol le plus susceptible d’être choisi par le voyageur à ces dates, selon des critères de prix, nombre d’escales et temps.
• Cas du porte-à-porte : lorsque la case "Afficher les trajets porte-à-porte" est cochée, les prix des transports en commun ou de la voiture pour les premiers et derniers km sont inclus dans le prix affiché pour les modes de transport concernés (train, bus, avion).
• Cas des trajets incluant un ferry longue distance ou l’eurotunnel : lorsque le trajet inclut une portion en ferry supérieure à 20km ou l’eurotunnel, un supplément s’applique :  200€ pour une voiture (divisé par le nombre de passagers) ou 100€/passager pour vélo, train et bus.
• Cas des trajets incluant un ferry courte distance : lorsque le trajet inclut une portion en ferry inférieure à 20 km, un supplément s’applique : 40€ pour une voiture (divisé par le nombre de passagers) ou 10€/passager pour vélo, train et bus.

Pour les trajets d'une relative complexité (multiples correspondances, plusieurs pays ou pays hors Europe par exemple), le prix est susceptible de ne pas être trouvé et sera indiqué comme "Non trouvé" ou par un symbôle "-".

À propos de l'empreinte carbone des transports en France

D’abord, qu'est-ce que c’est l'empreinte carbone des transports .

L'empreinte carbone correspond à la somme des gaz à effet de serre (GES) émis directement ou indirectement par une activité en particulier. Ces gaz contribuent au réchauffement climatique et à la pollution atmosphérique. L'empreinte carbone des transports concerne donc spécifiquement les GES émis par tous les modes de transport, qu'il s'agisse des voitures, camions, trains, avions, bateaux ou tout autre moyen utilisé pour se déplacer.

Ces gaz à effet de serre sont mesurés en tonnes d'équivalent CO2 (CO2e). En fait, le CO2 est le principal gaz à effet de serre émis par la combustion de carburants fossiles, mais il n'est pas le seul ! Les transports émettent aussi d'autres GES, comme le méthane (CH4) et le protoxyde d'azote (N2O), qui sont respectivement 28 et 265 fois plus réchauffants que le CO2. 

Pour mesurer correctement l'empreinte carbone des transports, il faut bien sûr prendre en compte les émissions directes provenant de la combustion des carburants, mais pas que ! Il faut aussi compter toutes les émissions indirectes, notamment des émissions générées par la fabrication des véhicules, l’extraction et le raffinage des carburants, l’entretien des équipements de transport, etc. 

Et oui, le calcul de l’empreinte carbone des transports ne se limite absolument pas au carburant consommé !

L’évolution des émissions de GES des transports sur ces dernières années 

Maintenant, jetons un coup d'œil sur les niveaux d’émissions de GES dûes aux transports sur ces dernières années. 

En France, ces émissions de CO2 ont augmenté de +30% entre 1990 et 2019, selon le Ministère de la Transition Écologique. Cela signifie qu’elles sont passées de 112 à 146 millions de tonnes équivalent CO2. Cela est notamment dû à l'augmentation des trajets en voiture et en avion sur ces dernière années. 

L’année 2020 a été bien particulière comme nous savons tous, ce qui a entraîné une baisse historique des émissions de carbone de -9,6% (certainement la seule bonne nouvelle de cette crise sanitaire). Mais en 2021, les émissions de gaz à effet de serre du pays sont reparties à la hausse (+ 6,4 %) par rapport à l’année précédente, avec entre autres la reprise des déplacements et des activités touristiques.  

Mais alors, quelles actions peuvent être menées pour réduire l'impact environnemental des transports ?

Il existe plusieurs actions que nous pouvons tous mettre en place pour réduire l'impact environnemental des transports. Bien sûr, la première chose à faire est de choisir des modes de transport plus doux et bas-carbone comme le vélo ou le train, ou alors de privilégier le covoiturage ou les transports en commun. Si vous n’êtes pas prêts à dire au revoir à la voiture, alors vous pouvez déjà opter pour une voiture électrique. 

Enfin, il nous semble important de signaler que chaque geste compte, même quand il s'agit du choix de transport emprunté pour partir en vacances ou en week-end !

Quelques chiffres sur le tourisme et les transports en France

Si vous ne le saviez pas encore, la France est une superstar du tourisme depuis plus de 30 ans. Nous sommes la première destination touristique mondiale avec près de 90 millions de visiteurs étrangers chaque année. Mais quel impact cela a-t-il sur notre chère planète ?

Le tourisme est une véritable machine économique dans l'Hexagone, représentant environ 8 % du PIB et générant 2 millions d'emplois. Mais aïe nous avons également une médaille moins prestigieuse : le tourisme est responsable de 11% de nos émissions nationales de gaz à effet de serre. Ça fait très cher les selfies avec la Joconde, tout ça !

Et devinez quoi ? Parmi les émissions de CO2 liées au tourisme, 77% sont dues aux transports. Dans ce domaine, l'avion est le grand gagnant (ou perdant, tout dépend du point de vue…) avec 53% des émissions ! Pas très étonnant quand on sait qu’un aller-retour Paris-Marseille en avion pèse déjà 0,3 t de CO2, et que pour un aller-retour Paris-Sydney, nous parlons de 5,2 t de CO2 ! 

Inutile de dire que cela dépasse largement notre quota recommandé de 2 tonnes de CO2 par an pour contenir le réchauffement climatique sous les 2°C à horizon de 2100…

La voiture n’est pas mal non plus avec 34% des émissions de carbone liées au transport dans le tourisme, tandis que le bateau ne représente que 12%. Le train et le bus sont les bons élèves de la classe et représentent moins de 1% de l’empreinte carbone des transports touristiques en France.

Heureusement, on a aussi une bonne nouvelle ! Selon l’ADEME, nous observons une demande croissante pour un tourisme plus local et durable.

Comparaison et calcul de l’empreinte carbone des différents modes de transport

Penchons-nous un peu plus en détail maintenant sur une question essentielle aujourd’hui : la comparaison de l'empreinte carbone des différents modes de transport. 

Que ce soit pour les trajets quotidiens ou les voyages longue distance, chaque choix a un impact.

Le calcul entre empreinte carbone, prix et temps de trajet d’un voyage en avion

Commençons par l'avion, souvent choisi pour les longues distances et les voyages internationaux. Malheureusement, les avions sont les plus grands émetteurs de CO2 parmi tous les modes de transport. 

Imaginez : un vol aller-retour de Paris à New York c’est environ 1,8 tonnes de carbone, soit presque la totalité du quota de 2 tonnes par personne qui est recommandé pour maintenir un réchauffement climatique à 2°C d’ici 2100 !

La raison pour laquelle l’avion est encore aujourd’hui privilégié, même sur des trajets courts, est qu’il peut être compétitif en termes de temps et de prix. Cependant, la rapidité du trajet est souvent biaisée car les aéroports sont presque toujours situés hors des villes, plus difficiles d’accès en transport. Le temps de trajet en avion ne compte pas non plus les temps d’attente irréductibles avant et après le vol.

L’objectif de notre comparateur de transport est alors de vous aider à facilement calculer le gain de temps ou de prix vs. la hausse de votre empreinte carbone si vous choisissez de partir en avion.

Le train, l’alternative éco-responsable pour limiter son empreinte carbone  

Le train est une option de transport très populaire en France, offrant une alternative beaucoup plus écologique que l'avion. Les émissions de CO2 par voyageur et par kilomètre sont considérablement plus faibles en train qu'en avion ou en voiture. De plus, le train offre généralement un grand nombre de trajets, ce qui en fait une option pratique pour les déplacements fréquents, avec un large choix d’horaires et de destinations. Pour les voyages nationaux ou régionaux, le train est certainement un excellent choix et permet de réduire notre empreinte carbone liée au tourisme.

Il faut tout de même admettre que l’inconvénient du train est bien souvent son prix, qui est souvent plus élevé que l’avion et parfois même que la voiture. Attention cependant à bien prendre en compte les cartes de réduction qui divisent souvent le prix du train par 2.

Malgré son lourd impact sur l’environnement, la voiture reste la solution préférée des français

Souvent privilégiée pour sa flexibilité et sa commodité, la voiture est le moyen de transport le plus utilisé en France. Cependant, elle est responsable d’importantes émissions de CO2 et a même tendance à afficher un bilan carbone par passager plus lourd que les autres modes de transport. Selon les calculs de l'ADEME, une voiture émet en moyenne 218 g de CO2 par kilomètre parcouru (source :  Impact CO2 ) contre seulement 2.4 g pour un TGV (source :  Impact CO2 ) !

L'achat du véhicule, son entretien, ainsi que le carburant et le stationnement peuvent rendre ces trajets plus coûteux que d’autres modes de transport. Mais son avantage est de permettre de se rendre n’importe où sans multiplier les correspondances ou moyens de déplacement. 

Il existe toutefois des solutions moins carbonées comme le covoiturage ou les voitures électriques. En optant pour un véhicule électrique ou en privilégiant le covoiturage, nous pouvons réduire notre empreinte carbone tout en économisant de l'argent sur les coûts de carburant.

A vélo, c’est carbone-zéro et plaisir à gogo ! 

Le vélo est le moyen de transport écologique par excellence. Il n'émet aucun CO2 et est très peu coûteux. Un autre avantage, et pas des moindres, des trajets en vélo est de profiter de jolis paysages tout en pratiquant une activité physique. Pour les longues distances, les vélos électriques peuvent être une bonne alternative pour limiter son empreinte carbone en profitant de la nature et pour un effort physique raisonnable. 

De plus, en France, de nombreuses villes disposent de pistes cyclables sécurisées, facilitant ainsi les déplacements à vélo.

Le calcul d’une empreinte carbone maîtrisée en bus et en autocar

Les bus et autocars sont une option de transport en commun économique et écologique, en particulier pour les voyages de groupe ou de longue distance. Les émissions de CO2 par passager en bus sont généralement beaucoup plus faibles que celles des voitures individuelles, grâce au grand nombre de voyageurs qu’il peuvent transporter. De plus, les compagnies de bus proposent une offre variée de trajets, ainsi qu’une bonne flexibilité aux voyageurs et des prix souvent très attractifs. 

Cependant, les trajets sont souvent plus longs en bus qu’en voiture, cela est dû à leur vitesse moyenne qui est plus lente et aux nombreuses pauses qu’ils doivent faire en route. Alors êtes-vous prêt à allonger votre temps de trajet et voyager en bus plutôt qu’en voiture pour réduire votre empreinte carbone ?

Que penser des émissions de carbone d’un trajet en bateau ou ferry ?

Enfin, pour les voyages en mer, les bateaux et les ferries peuvent être des options intéressantes afin d’éviter de prendre l’avion. Mais... si les émissions de CO2 varient en fonction du type de bateau et de la distance parcourue et ont parfois (ou même souvent) une empreinte carbone inférieure à celle de l'avion, leur impact est loin d'être négligeable ! 

Pour ce mode de transport, les émissions de CO2 par passager et par kilomètre dépendent notamment du choix de la cabine, mais aussi de la voiture à bord. Pour vous faire une idée, nous vous conseillons le calculateur spécialisé sur l'impact des ferry par l'excellent Bon Pote accessible à ce lien : https://bonpote.com/ferry-calculer-en-1-minute-son-empreinte-carbone/

En définitive, chaque mode de transport a ses avantages et ses inconvénients en termes d'empreinte carbone, de prix, de nombre de voyageurs et de nombre de trajets proposés. Si vous cherchez à calculer et réduire votre empreinte carbone, privilégiez les options comme le train, le vélo ou le bus. Cependant, dans ce cas là il vous faudra peut-être accepter de payer plus cher ou de passer plus de temps à vous déplacer.

Comment utiliser notre comparateur de transport et calculateur de CO2 ?

Notre comparateur peut être utilisé dans de nombreuses situations. C’est avant tout un très bon outil d’aide à la décision si vous êtes en train de planifier des vacances et que vous ne savez pas quel moyen de transport vous voulez/pouvez prendre. Dans ce cas là, notre comparateur peut vous aider à mesurer la réelle différence de temps de trajet porte à porte entre tous les modes de transport disponibles. Vous pourrez aussi y comparer les prix et ainsi choisir la solution la plus adaptée. 

Mais évidemment notre comparateur a aussi pour missions de vous faire prendre conscience de l’impact environnemental de chaque mode de transport et ainsi faire entrer l’empreinte carbone dans votre processus de décision. 

Vous pourrez utiliser notre calculateur Temps-Prix-Impact carbone pour vous sensibiliser vous-même mais aussi votre entourage à ces questions écologiques. Selon nous, cette vue comparative par mode de transport permet de se rendre compte plus facilement des conséquences de nos choix de transport. L’avantage de cet outil est qu’il vous permet d’évaluer aussi bien des petits trajets du quotidien que de longues distances à l’international. 

Usez et abusez de notre comparateur pour évaluer vos trajets, calculer le meilleur ratio et partagez-nous ce que vous en avez appris ! 

Pourquoi le comparateur GreenGo est-il parfois en mode dégradé ?

En raison d'une forte charge, le comparateur GreenGo peut s'avérer couteux à opérer : entre 0.05€ et 0.10€ la requête !

Selon les pics d'utilisation et afin de faire perdurer ce comparateur, les résultats pourront être partiellement "dégradés" afin de limiter les coûts. Nous remettons à zéro nos compteurs tous les jours, donc le comparateur aura plus de chances de fonctionner complètement tôt dans la journée.

L’alternative responsable à Booking et Airbnb. Une alternative française et équitable, qui vous sélectionne les meilleurs logements en France.

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International sites

September 14, 2023

Written by Tiffany Peng

Amazon sends products on board the first zero-emission capable cargo ship

Amazon supports the world’s largest deployment of direct air capture technology to remove carbon from the atmosphere

Amazon is making its first investments in DAC—a critical technology in the fight against climate change.

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Carbonne travel guide

Visit Carbonne (Occitanie, France)

Carbonne is a small town in the Haute-Garonne department of the Midi-Pyrenees, about 40 kilometres south of Toulouse . It is situated is on the Garonne river, at its confluence with the Arize river. Dating from the middle of the 12th century, the village was built in an attractive location on a bend in the river.

Exploring Carbonne

Carbonne is an attractive small town, with some of the buildings constructed in the typical style of the region using thin red bricks and white stone, although little remains of the original village: suffering from the same fate as many villages in the south-west of France in the 13th century, the original village at Carbonne was ransacked by Simon de Montfort in 1244 as part of the crusade against the cathars.

It was 12 years later that people returned when one of the first bastides was constructed here. The Black Prince and the Hundred Years war came next, and again the village was more or less destroyed. After 1356, the monks who had originally established Carbonne resettled, and a new, fortified, bastide town was constructed a little to the north of the original village.

France This Way review: Carbonne is a pleasant town, but the sites of interest are quite minor and the town will not take you long to explore.

The 19th century market hall, in the center of the town on the main shopping street, is of interest. An attractive structure built in red brick the market hall uses ironwork instead of wood for its roof structure, a trend that was fashionable in 19th century France and inspired by similar structures in Paris designed by Gustave Eiffel.

There are also three interesting historical towers in Carbonne including the Tower of the Governor's House and the Colombier de Grilhon, both dating from the 16th century and octagonal in shape with decorative roofs (a colombier is a tower historically used for raising pigeons).

The 13th century Church of Saint Laurent is on the edge of Carbonne, having been built as part of the original bastide town here. The church has an impressive gilded altarpiece and a baroque style choir section.

Close to the church don't miss the Abbal Museum and gardens which has some interesting sculptures by André Abbal, a sculptor from the village who was active in the early 20th century. Open every day except Tuesday from June to September but only Saturday and Sunday afternoons from October to May, and closed 15 december to end January. Admission price 3.50 euros.

Because of this historical association with Abbal, Carbonne now has a reputation as a village that attracts various artists and artisans.

The stone bridge over the river, constructed in the late 18th century, has nice views across the town and along the river banks.

Attractions nearby

The village of Rieux-Volvestre is a pretty village that merits exploration a few kilometres south-west of Carbonne. Otherwise most of the important attractions in this region are either a sigificant distance to the north of Carbonne e.g. Toulouse , or in the mountains a reasonable journey south of here.

You can find more travel ideas in the Haute-Garonne guide and the Midi-Pyrenees guide .

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Rieux-Volvestre

The stroll along the river and the surrounding medieval red-brick buildings make Rieux-Volvestre an interesting village to visit

Cazeres is not a tourist town, but you might like to visit the Church of Notre Dame of the Assumption when in the region

Martres-Tolosane

The small village of Martres-Tolosane is known for its faiencerie workshops

Although tiny, the castle (and picnic area) in the centre of Tourtouse make a detour recommended

Montjoie-en-Couserans

The tiny village of Montjoie-en-Couserans is included because it is the start point of a picturesque driving tour of the surrounding villages

Saint-Lizier

A small village in the Natural Regional Park of the Ariege Pyrenees, Saint-Lizier is very picturesque and also has a cathedral and other notable monuments

... or see ALL recommended places to visit in Haute-Garonne

Address: Carbonne, Muret, Midi-Pyrenees, 31390, France || GPS coordinates: latitude 43.295, longitude 1.2259

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Sightseeing & tourist attractions to visit nearby.

• Saint-Lizier : most beautiful village (33 km)
• Saint Lizier cathédrale (monuments on French pilgrim routes) : heritage site (33 km)
• Pyrenees Ariegeoises: regional natural parc (37 km)
• Toulouse Hotel-Dieu St Jacques (monuments on French pilgrim routes) : heritage site (38 km)
• Jardin Royal de Toulouse: remarkable garden (38 km)
• Canal du Midi : heritage site (38 km)
• Forêt de Bouconne: site of natural beauty (39 km)
• Jardin japonais de Toulouse: remarkable garden (39 km)
• Toulouse : town of art and history (39 km)
• Toulouse basilique St Sernin (monuments on French pilgrim routes) : heritage site (39 km)
• Audressein Église Notre-Dame de Tramesaygues (monuments on French pilgrim routes) : heritage site (44 km)
• Parc aux Bambous: remarkable garden (46 km)

Market days in Carbonne, France

Regular market(s) are held in Carbonne each Thursday. (Markets are held in the morning unless stated.)

The French version of this page is at Carbonne (Francais)

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Queensland researchers create device that consumes carbon dioxide and generates electricity

Researchers at the University of Queensland (UQ) have built an electrical generator that consumes carbon dioxide, potentially opening the door to a new industrial-scale carbon capture method.

The carbon-negative "nano-generator" is the work of Zhuyuan Wang and Xiwang Zhang from UQ's Dow Centre for Sustainable Engineering Innovation.

It pairs a poly amine gel already used to absorb CO2 with a thin "skeleton" of boron nitrate that's only a few atoms thick.

The prototype device generates electricity as it absorbs CO2.

It's the latter of those two results that have the researchers most excited.

The nano-generators have the potential to be a key component in a new form of industrial carbon capture.

Dr Wang believes, with further development, the technology can be scaled up to significantly reduce global CO2 emissions.

"We imagine two uses – one is we use the technology to directly integrate it to a commercial CO2 absorption plant so this can generate some electricity when absorbing CO2 to offset the cost," he said.

"We are very confident it can because nowadays CO2 absorption is not a lucrative business.

"Our technology can be used in these plants, we can largely reduce the energy consumption and of course the capital costs, so make this business more sustainable and lucrative."

A second application could be as a small, portable domestic unit consuming CO2 from the immediate environment while creating enough electricity to power small devices or light bulbs.

Dr Wang said they have been working on the nano-generator for the past two years, but more research was needed to make the chemical process more efficient.

"At present, we can harvest around 1 per cent of the total energy carried intrinsically by gas CO2 but, like other technologies, we will now work on improving efficiency and reducing cost," Dr Wang said.

Professor Zhang, who is the director of the Dow Centre, said they would continue to develop the nano-generator through GETCO2, a research scheme run by one of the Australian Research Council's centres of excellence.

Dr Wang said they are also seeking industrial partners.

Existing carbon capture methods costly and inefficient

Carbon capture and storage (CCS) is employed by the oil and gas industry as one way to help offset greenhouse gas emissions.

It currently involves capturing CO2 at the site of production and then burying it deep underground where it becomes trapped in a porous rock layer.

The Institute for Energy Economics and Financial Analysis said the majority of carbon capture and storage projects around the world were not performing as well as expected.

The institute said that while CCS had been around for decades, it was costly, there were only about 30 active projects in the world and "numerous projects" had been cancelled or failed.

It found that for Australian projects from 2016-17 to 2022-23, CCS injected 33 per cent of emissions, which was collectively only 42 per cent of their carbon capture targets.

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Does carbon capture and storage work and can it help reduce emissions.

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Nine solutions for Cities to Cut Carbon Emissions in Construction

World Economic Forum, [email protected]

• A new World Economic Forum report highlights cities that are tackling carbon emissions in the construction industry and how to scale these innovative approaches.
• The built environment is the single largest contributor of CO2 emissions, generating approximately 40% globally, the majority of which comes from urban development.
• Cities such as Vancouver, New York City, Los Angeles and London are leading the charge in emission-reducing solutions related to urban development projects.
• Read the full report as well as a model policy , city playbook and practitioners guide .

New York, USA, 22 April 2024 – A report released today by the World Economic Forum’s Centre for Urban Transformation features best practices developed by pioneer cities that are reducing carbon emissions from urban development projects.

As cities grow in population and importance, urban construction will continue to gather pace. It is estimated that the global floor area is expected to double by 2060, the equivalent of building out New York City every month for the next 40 years. The report, Reducing Embodied Carbon in Cities: Nine Solutions for Greener Buildings and Communities , highlights nine innovative solutions for all phases of construction and demolition.

“In recent years, a growing number of cities have taken decisive action to help bolster the operational efficiency of buildings,” said Jeff Merritt, Head of Urban Transformation at the World Economic Forum. “Despite these gains, a more robust approach is needed to tackle carbon emissions across the entire life cycle of these structures. From rethinking traditional construction methods and materials to breathing new life into otherwise obsolete buildings, new solutions are rapidly emerging to tackle this challenging issue, collectively referred to as embodied carbon.”

The report highlights innovative solutions that provide a model for cities seeking to meet the Sustainable Development Goals. Some of the case studies that demonstrate impact include:

• The One Westside Office Campus in Los Angeles, once a struggling mall that will become a state-of-the-art UCLA science campus, demonstrates the possibilities of adaptive reuse. More than 75% of construction and demolition debris for the building was diverted from landfills, reducing the embodied carbon by 33% compared to a ground-up scenario.
• A programme run by San Diego’s local utility company, is helping fleet owners and operators eliminate emissions by transitioning to electric vehicles (EVs). The goal is to serve a minimum of 3,000 medium- and heavy-duty vehicles, many of which are used by the construction industry, at 300 customer sites throughout the company’s service area.
• London’s Material Reuse Portal offers a user-friendly interface for stakeholders across the construction industry to engage in sustainable material reuse practices, thereby increasing adaptive reuse of construction materials and reducing carbon emissions.

The report also features case studies of cities that are developing a variety of approaches – from mandates and incentives to providing benchmarking tools – to reduce embodied carbon emissions from construction practices. This includes:

• Vancouver enacted an embodied carbon limit on all new construction and developed a benchmarking tool to measure emissions.
• Seattle provides an expedited permitting process for projects that meet embodied carbon standards. This initiative benefits environmentally friendly construction companies by hastening construction while promoting the city’s environmental commitment.
• New York City instituted a Clean Construction Executive Order mandating all capital project agencies to lower embodied carbon from municipal construction projects.

“Cities are at the forefront of efforts to reduce carbon emissions in both new development and redevelopment within the built environment,” said Jennifer Holmes, Accenture’s lead for cities, transportation and infrastructure. “This initiative is focused on the increasing importance of cities establishing clear targets, incentives and pathways for emission reduction, in collaboration with the private and non-profit sectors.”

These and other pioneer cities are featured in the report that was developed with Accenture following a City Sprint , hosted in collaboration with the City of Los Angeles. The City Sprint included an intensive three-day workshop with more than 50 multidisciplinary stakeholders committed to changing the construction industry for the 21st century. The City Sprint builds on Los Angeles’ commitment to the C40 Cities Clean Construction Accelerator to reduce embodied emissions by at least 50% for all new buildings, major retrofits, and infrastructure by 2030.

"Cities drive the demand for the development, maintenance and renovation of the places we rely on daily - our homes, schools, hospitals, streets and other vital infrastructures,” said Cécile Faraud, Head of Clean Construction, C40 Cities. “We have the momentum to ensure the built environment is decarbonised, climate resilient and equitable: 10 leading cities participated in the C40 Clean Construction programme in 2019; now, we are working with 45+ cities across all continents. The breadth and variety of city action can inspire the sector’s confidence to invest in just solutions. The policy model and adoption playbook are great tools for accelerating the global update of embodied carbon policies."

Adapting and scaling the solutions highlighted in the report requires effective public-private sector collaboration from across the construction industry and beyond, including policy-makers, businesses, financial institutions and technology companies. The Centre for Urban Transformation’s G20 Global Smart Cities Alliance , in collaboration with Infosys and C40 Cities, has developed a Whole Life Cycle Assessment Model Policy, which is complemented by supporting materials, including an implementation Playbook for cities and a companion Practitioner’s Guide for the private sector to align policy goals with new innovations in building practices.

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Pennsylvania makes a push to attract and approve carbon capture wells

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HARRISBURG, Pa. (AP) — The Pennsylvania state Senate on Tuesday approved legislation aimed at helping the nation’s No. 2 natural gas-producing state attract carbon capture projects and enable federally-funded hydrogen hubs, but critics say the bill lacks important safeguards.

The Republican-penned bill lays out a framework for how Pennsylvania would regulate underground wells that store carbon dioxide, a critical component of carbon capture and removal technology that supporters envision as a way to slow climate change.

It passed 30-20, drawing a blend of support and opposition from Republicans and Democrats. It next goes to the Democratic-controlled House of Representatives.

Backers say attracting carbon capture projects to Pennsylvania will be an integral part of building out two hydrogen hubs recently awarded by the Biden administration. One project involves energy-producing sites in southwestern Pennsylvania and the other is based around sites in the Philadelphia region.

“This is a proactive step to secure Pennsylvania’s future as a hub for carbon capture and sequestration,” the bill’s sponsor, Republican Sen. Gene Yaw, of Lycoming County, told colleagues during floor debate. “It is a pragmatic solution to a problem we all want to solve: reducing our carbon emissions without crippling the reliability of our electric grid.”

The two hydrogen hubs are part of a $7 billion federal program designed to kickstart development and production of hydrogen fuel , a key component of President Joe Biden’s agenda to slow climate change by replacing fossil fuels with a cleaner fuel.

Greenhouse gases captured from coal or gas-powered plants can be transported for injection in wells deep underground. Energy from those plants could be needed to provide the power to make hydrogen, and carbon capture is part of their plan to make it more climate friendly.

Yaw said a previous state study found that Pennsylvania could store about 2.4 billion metric tons of carbon dioxide underground, or about the amount of carbon dioxide emitted annually by 500 million gas-powered vehicles.

However, opponents said the bill lacks protections to ensure companies are liable for leaks or water contamination, landowners aren’t forced into contracts with well operators and the state has adequate staff to enforce regulations. They also warned that carbon capture wells will spawn pipelines across the state, potentially disrupting populated communities.

Skeptics have also said carbon capture has been oversold as a climate change solution and merely will extend the life of a fossil fuel industry that burns oil, coal and natural gas.

“We have talked about how climate solutions are needed, but capturing carbon cannot be the centerpiece of any serious climate plan,” said Democratic Sen. Katie Muth, of Montgomery County, during floor debate.

Democratic Gov. Josh Shapiro’s administration has signaled that it wants to apply to the U.S. Environmental Protection Agency to take over issuing permits for wells that store carbon. On Tuesday, Shapiro’s office said the administration is “actively engaged” with the EPA on the application process.

The EPA is responsible for permitting carbon storage wells in all but three states. Proponents of states taking over permitting say it will speed up approvals of new projects that are critical for reducing greenhouse gas emissions.

The Biden administration has increased tax breaks for developers of carbon capture projects and provided large grants.

Developers have responded, flooding the EPA with permit applications for new wells, but only a handful of carbon capture projects are currently operating and few wells have been approved so far.

Follow Marc Levy at twitter.com/timelywriter .

Cavs smother overmatched Orlando Magic, take commanding 2-0 series lead with dominant 96-86 win

• Updated: Apr. 22, 2024, 11:30 p.m. |
• Published: Apr. 22, 2024, 9:47 p.m.

• Chris Fedor, cleveland.com

CLEVELAND, Ohio — What a difference a year makes.

The fourth-seeded Cavs smothered the offensively-inept Orlando Magic, winning their second straight game in this lopsided first-round playoff matchup on Monday night, 96-86. Cleveland now has a commanding 2-0 series lead as the best-of-seven series shifts to Orlando.

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If you or a loved one has questions and needs to talk to a professional about gambling, call the Ohio Problem Gambling Helpline at 1-800-589-9966 or the National Council on Program Gambling Helpline (NCPG) at 1-800-522-4700 or visit 1800gambler.net for more information. 21+ and present in Ohio. Gambling problem? Call 1-800-Gambler.

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