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Formulaire obligatoire pour les voyageurs entrant en Suisse

Coronavirus : formulaire obligatoire pour les voyageurs entrant en suisse.

A compter du lundi 8 février, les voyageurs qui entreront sur le territoire suisse devront remplir un formulaire électronique. Les pendulaires qui habitent près de la frontière ne sont pas concernés.

Patrick Mathys, responsable de la section de gestion de crise de l’OFSP, a montré des signes d’optimisme.

L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) a annoncé mardi après-midi l’obligation, dès lundi 8 février, de remplir un formulaire électronique pour toutes les personnes entrant en Suisse. Les frontaliers ne sont pas concernés par cette obligation. Cette mesure «s’applique à tous les types de voyages», a expliqué Patrick Mathys, responsable de la section de gestion de crise de l’OFSP, lors d’une conférence de presse. Les pendulaires qui doivent régulièrement traverser la frontière feront exception.

Les contrôles seront principalement menés dans les aéroports. «Il y aura des contrôles aléatoires, mais pas généralisés aux frontières terrestres», a précisé Patrick Mathys. Ce formulaire a pour but de renforcer la stratégie de mise en quarantaine et d’isolement des personnes venant de l’extérieur de la Suisse, selon l’OFSP.

Vaccination sur le bon chemin

«La campagne de vaccination se passe sans incident et de façon professionnelle», a estimé la directrice de l’OFSP, Anne Lévy. Selon elle, «la stratégie de la Suisse est la bonne». 3, 64% de la population a déjà reçu une première dose du vaccin. Plus d’un demi-million de doses ont été livrées en Suisse, mais la distribution a pris du retard. «Nous ne pouvons pas atteindre les objectifs fixés pour février», a admis Michael Jordi, en référence aux pénuries d’approvisionnement. «Mais nous rattraperons notre retard», a-t-il promis. L’objectif de la Confédération est de vacciner toutes les personnes qui le souhaitent d’ici à l’été.

La bataille contre le Covid montre des signes encourageants ces derniers temps, selon Patrick Mathys. Les chiffres sont en baisse au niveau des cas positifs, des hospitalisations et des décès. Le taux de reproduction R repart par contre à la hausse. Au 18 janvier, il affichait une valeur supérieure à 1 dans plusieurs cantons. À l’échelle nationale, il s’inscrit à 0,98, ce qui fait craindre une augmentation du nombre de cas à l’OFSP, qui exclut pour l’instant un relâchement des mesures.

Pas de fermeture des écoles

Concernant le scénario d’une fermeture des écoles, l’OFSP a indiqué mardi que cette solution n’était pas à l’ordre du jour pour l’instant. Patrick Mathys a indiqué qu’il pourrait s’agir d’une possibilité si la situation venait à se détériorer, mais qu’il y avait d’autres alternatives envisageables pour l’instant. Il s’agit de voir dans les semaines à venir si les mesures déjà en vigueur suffisent ou non pour freiner la propagation des nouveaux variants.

La Suisse comptait ce mardi 1633 cas supplémentaires de coronavirus en 24 heures, selon les chiffres l’OFSP. Quarante-six décès supplémentaires sont à déplorer et 90 malades ont été hospitalisés. Le taux de positivité des tests s’élève à 6,46%. Sur les deux dernières semaines, le pays compte 270 nouvelles infections pour 100’000 habitants.

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COVID-19 : nouvelle dose de rappel recommandée dès maintenant aux plus de 80 ans

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Berne, 05.07.2022 - L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) et la Commission fédérale pour les vaccinations (CFV) ont actualisé les recommandations de vaccination pour l’été et formulé les grandes lignes d’une recommandation pour l’automne 2022. Le renouvellement de la vaccination de rappel est désormais recommandé aux personnes de plus de 80 ans, et plus seulement aux personnes immunodéprimées. Selon les estimations actuelles, cette recommandation devrait être étendue à l’ensemble de la population adulte à l’automne 2022. Elle s’adressera en premier lieu aux personnes vulnérables et au personnel de santé. L’objectif est de réduire le risque de forme grave du COVID-19 chez les personnes vulnérables et d’éviter une surcharge du système de santé.

Jusqu’à présent, la CFV et l’OFSP ne recommandaient le renouvellement de la vaccination de rappel qu’aux personnes présentant une immunodéficience sévère. Compte tenu de la propagation du variant Omicron BA.5 et de l’augmentation des nouvelles infections, cette recommandation est étendue dès aujourd’hui aux personnes de plus de 80 ans afin d’accroître leur immunisation contre les formes graves pendant les mois d’été. En raison de leur âge, ces personnes sont les plus à risque de tomber gravement malades du COVID-19. C’est également dans ce groupe d’âge que la protection contre les formes graves et les hospitalisations diminue le plus vite après la vaccination. Cette recommandation pour les plus de 80 ans est indépendante de la recommandation vaccinale qui s’appliquera à l’automne 2022. Les personnes de plus de 80 ans qui se font vacciner maintenant auront probablement besoin d’une nouvelle dose de rappel vers la fin de l’année. Pour toutes les autres personnes ayant déjà reçu une vaccination complète (trois doses, ou deux doses après guérison du COVID-19), l’OFSP et la CFV recommandent d’attendre l’automne pour renouveler la vaccination de rappel. En l’état actuel des connaissances, ces personnes sont encore suffisamment protégées contre une évolution grave de la maladie. Avec les variants circulant actuellement, une dose supplémentaire n’offre qu’une protection limitée contre les infections et les formes bénignes. En outre, il peut valoir la peine d’attendre les vaccins adaptés, qui devraient être disponibles à l’automne 2022. L’injection est gratuite pour les plus de 80 ans. Elle est en revanche payante pour les personnes plus jeunes souhaitant renouveler leur vaccination de rappel (par exemple pour voyager ou pour d’autres raisons individuelles). Vaccinations de rappel à l’automne 2022

Une nouvelle augmentation des cas de COVID-19 est à prévoir pour l’automne 2022, en raison de facteurs liés à la saison. D’ici là, l’immunisation générale de la population et donc sa protection contre les formes graves auront diminué. Le risque individuel de contracter la maladie et la charge pour le système de santé atteindront ainsi un niveau maximal en automne/hiver. Une nouvelle dose de rappel peut contribuer à réduire le nombre d’infections sévères et, par là même, la surcharge du système de santé. En vue de l’automne 2022, l’OFSP et la CFV ont dressé les grandes lignes d’une recommandation concernant la vaccination de rappel. Selon les estimations actuelles, ils devraient recommander à toutes les personnes à partir de 16 ans de renouveler leur dose de rappel à l’automne. Cette recommandation s’adresse prioritairement aux groupes vulnérables, à savoir les personnes de plus de 65 ans et celles présentant un risque accru pour leur santé, par exemple en raison d’une maladie préexistante spécifique ou d’une grossesse. Ces groupes sont les plus à risque de développer une forme grave.

La vaccination de rappel sera également recommandée tout particulièrement aux professionnels de la santé et aux autres personnes assurant la prise en charge de personnes vulnérables. Il s’agit notamment d’éviter autant que possible les absences pour cause de maladie et les lacunes dans la prise en charge. Les personnes entre 16 et 64 ans sans facteur de risque sont peu susceptibles de développer une forme grave cet automne. Pendant cette période, une vaccination de rappel leur sera recommandée si elles souhaitent réduire leur risque d’infection ou de rare forme grave pour des raisons privées ou professionnelles (p. ex. si elles travaillent dans une organisation ou une entreprise assurant des tâches infrastructurelles essentielles). Dans la situation actuelle, il n’est pas recommandé aux 5 à 15 ans de recevoir un rappel en automne, car le risque de forme sévère du COVID-19 est très faible chez les enfants vaccinés. Dates de la vaccination encore indéterminées

Les dates exactes auxquelles la vaccination de rappel sera administrée à l’automne 2022 ne peuvent encore être déterminées. Cette décision, ainsi que les recommandations détaillées pour l’automne, seront influencées par plusieurs inconnues, notamment l’évolution de l’épidémie ou encore la disponibilité et l’efficacité d’un nouveau vaccin ou d’une version adaptée d’un vaccin existant. La publication de la recommandation définitive interviendra donc ultérieurement. Dans le cas d’une recommandation large, le rappel vaccinal de l’automne 2022 sera gratuit pour la population, comme c’est déjà le cas pour les vaccinations recommandées. La Confédération, les cantons et l’assurance obligatoire des soins (AOS) assumeront les coûts des vaccins, de leur administration et du matériel nécessaire. Les cantons seront responsables de réaliser les vaccinations. Suffisamment de vaccins disponibles

Suffisamment de doses sont disponibles. La Confédération prévoit que des vaccins adaptés seront disponibles à l’automne 2022, en plus de ceux actuellement utilisés. Cependant, on ignore encore si ce produit bivalent sera utilisé dès le début de la campagne de vaccination. En principe, la Suisse met toujours à disposition la dernière version du vaccin de chaque fabricant, sous réserve de son autorisation par Swissmedic. Acquisition de vaccins contre le COVID-19 pour 2023

La livraison des doses de vaccin à la Suisse s’effectuera en plusieurs étapes, au cours des années 2022 et 2023. Les négociations avec les fabricants visant à acquérir des vaccins pour 2023 ont été closes avec succès après le débat parlementaire. La Suisse recevra 3,5 millions de doses de Comirnaty (Pfizer/BioNTech) et le même nombre de doses de Spikevax (Moderna).

Adresse pour l'envoi de questions

Office fédéral de la santé publique, Communication, +41 58 462 95 05, [email protected] Infoline coronavirus +41 58 463 00 00

• Coronavirus: Vaccination contre le COVID-19

Office fédéral de la santé publique http://www.bag.admin.ch

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Les vaccins dont vous avez besoin pour votre voyage

Malade en vacances ? Le cauchemar ! Avec une vaccination insuffisante, vos vacances peuvent mal tourner. Découvrez tout sur les vaccins en prévision d’un voyage et ceux recommandés pour la Thaïlande, le Costa Rica, l’Inde et d’autres pays.

Trois semaines de plage, de surf et de cocktails. C’est ainsi que vous avez imaginé vos vacances en Thaïlande. Mais que faire si vous avez des poussées de fièvre dès votre arrivée au bord de l’océan ? Et si vous finissez vos vacances dans un lit d’hôpital ?

Les questions suivantes concernant la protection vaccinale devraient donc être clarifiées avant votre voyage.

Trois semaines de plage, de surf et de cocktails. C’est ainsi que vous avez imaginé vos vacances en Thaïlande. Mais que faire si vous avez des poussées de fièvre dès votre arrivée au bord de l’océan ? Et si vous finissez vos vacances dans un lit d’hôpital ?

Quels vaccins sont obligatoires pour votre voyage ?

Vérifiez les conditions d’entrée dans votre pays de destination . Les vaccins contre la fièvre jaune, le COVID-19, mais aussi d’autres mesures sont justement obligatoires pour entrer dans certains pays.

Vous trouverez les recommandations actuelles concernant la vaccination dans tous les pays sur le site de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) :

Vous trouverez les recommandations actuelles concernant la vaccination dans tous les pays sur le site de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) :

Pour les destinations les plus populaires, la Thaïlande, le Costa Rica et l’Inde, vous trouverez les recommandations plus bas dans l’article.

Quand vous faire vacciner avant votre voyage ?

Prenez rendez-vous pour vous faire vacciner au moins six à huit semaines avant votre départ . Vous aurez ainsi suffisamment de temps si vous devez recevoir plusieurs doses de vaccin. Vous partez en dernière minute ? Faites en sorte que votre voyage de dernière minute ne soit pas trop stressant : consultez dans tous les cas un médecin avant votre voyage. Pour une protection optimale, vous n’avez parfois besoin que d’un seul rappel de vaccin. Et vous pouvez également recevoir plusieurs vaccins en même temps.

Prenez rendez-vous pour vous faire vacciner au moins six à huit semaines avant votre départ . Vous aurez ainsi suffisamment de temps si vous devez recevoir plusieurs doses de vaccin. Vous partez en dernière minute ? Faites en sorte que votre voyage de dernière minute ne soit pas trop stressant : consultez dans tous les cas un médecin avant votre voyage. Pour une protection optimale, vous n’avez parfois besoin que d’un seul rappel de vaccin. Et vous pouvez également recevoir plusieurs vaccins en même temps.

Où vous faire vacciner ?

Le mieux est de demander à un expert ou une experte en médecine des voyages de vous recommander les vaccins nécessaires. Vous pouvez également vous faire vacciner par votre médecin de famille ou dans une pharmacie de vaccination, sauf si vous avez besoin du vaccin contre la fièvre jaune : il n’est administré que par certains médecins ou dans les centres de vaccination internationale.

Rappel : Prenez votre carnet de vaccination avec vous lors du rendez-vous. Vous n’en avez plus ? Il faut absolument consulter quand même !

Vous pouvez obtenir un certificat de vaccination dans les cabinets médicaux ou les pharmacies. Vous pouvez également le commander ou le télécharger auprès de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) :

Le mieux est de demander à un expert ou une experte en médecine des voyages de vous recommander les vaccins nécessaires. Vous pouvez également vous faire vacciner par votre médecin de famille ou dans une pharmacie de vaccination, sauf si vous avez besoin du vaccin contre la fièvre jaune : il n’est administré que par certains médecins ou dans les centres de vaccination internationale.

Rappel : Prenez votre carnet de vaccination avec vous lors du rendez-vous. Vous n’en avez plus ? Il faut absolument consulter quand même !

Vous pouvez obtenir un certificat de vaccination dans les cabinets médicaux ou les pharmacies. Vous pouvez également le commander ou le télécharger auprès de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) :

Quand faire attention aux vaccins pour votre voyage ?

Informez votre médecin dans les cas suivants :

• réactions violentes à des vaccins par le passé
• maladies chroniques ou cancer
• traitements de longue durée et médicaments réguliers (anticoagulants, chimiothérapie, cortisone ou autres)
• infection par le VIH ou le SIDA
• autres particularités (immunodéficience, etc.)

Dans ces cas, vous devriez discuter avec votre médecin pour savoir si et dans quelles conditions une vaccination est judicieuse pour vous.

Informez votre médecin dans les cas suivants :

Quels vaccins sont recommandés pour votre voyage ?

Quels sont les vaccins spécifiques dont vous avez besoin pour votre voyage à l’étranger ? Voici les critères déterminants :

• la destination et la situation épidémiologique locale
• la durée du séjour
• votre style de voyage (il y a une différence entre un trekking dans la jungle et un séjour dans un hôtel cinq étoiles)
• le séjour en ville ou à la campagne

Renseignez-vous sur la situation dans les pays et discutez de vos destinations exactes avec votre spécialiste en médecine des voyages. Vous pouvez également obtenir de plus amples informations sur les vaccinations avant un voyage à l’étranger auprès de nos conseils de santé.

Quels sont les vaccins spécifiques dont vous avez besoin pour votre voyage à l’étranger ? Voici les critères déterminants :

La vaccination dont vous avez besoin en Thaïlande

Voici la liste des vaccins recommandés et obligatoires pour voyager en Thaïlande :

Fièvre jaune

Ce vaccin n’est pas recommandé pour les voyages depuis l’Europe ou l’Asie. Il est obligatoire pour les arrivées dans les six jours d’une zone où sévit la fièvre jaune.

Diphtérie-tétanos

La vaccination contre la diphtérie-tétanos fait partie de l’immunisation de base. C’est pourquoi la plupart des gens sont vaccinés contre cette maladie dès l’enfance. Il est recommandé de vérifier son statut vaccinal avant de partir en voyage afin de bénéficier d’une protection optimale à l’étranger.

Hépatite A

Vaccination recommandée dix à quatorze jours avant le départ

Hépatite B

Vaccination recommandée

• en cas de séjour prolongé ou répété
• pour les groupes à risques

Fièvre typhoïde

Vaccination recommandée en cas de séjour de plus de quatre semaines ou de voyage dans des régions où l’accès à une hygiène alimentaire suffisante est difficile

Le risque concerne la rage terrestre, comme la rage canine. On pense que la rage des chauves-souris est répandue dans le monde entier. Si un mammifère vous griffe ou vous mord pendant votre voyage, lavez immédiatement et soigneusement la plaie avec du savon et consultez un médecin. Les immunoglobines dont vous avez besoin après une exposition (prophylaxie post-expositionnelle contre la rage) sont toutefois rares dans le monde. C’est pourquoi l’Institut tropical recommande la vaccination à tous les voyageurs.

Encéphalite japonaise

La principale période de transmission s’étend de mai à octobre. Généralement, le risque est toutefois assez faible. La vaccination est recommandée uniquement

• en cas de séjour d’au moins deux semaines
• en cas de séjour dans une zone d’endémie rurale.

En Thaïlande, le risque d’attraper la malaria est généralement faible. Vous n’y avez besoin que d’un anti-moustique. Dans certaines régions frontalières, vous devez toutefois faire particulièrement preuve de prudence :

• Régions frontalières de l’ouest et du sud avec le Myanmar : prendre des médicaments préventifs (selon discussion avec votre médecin).
• Régions frontalières avec le Myanmar (région de Tak) et île de Little Koh Chang : emporter un produit anti-moustique et des médicaments préventifs en cas d’urgence.
• Villes de Bangkok, de Chiang Mai, de Chiang Rai et de Pattaya : aucun risque.

Autres informations :

• La liste des recommandations de vaccination pour les voyageurs et voyageuses présentant des risques particuliers n’est pas exhaustive.
• Si vous êtes infecté·e par le VIH ou si vous êtes soupçonné·e de l’être, l’entrée en Thaïlande peut vous être refusée.

Voici la liste des vaccins recommandés et obligatoires pour voyager en Thaïlande :

Hépatite A

Hépatite b.

En Thaïlande, le risque d’attraper la malaria est généralement faible. Vous n’y avez besoin que d’un anti-moustique. Dans certaines régions frontalières, vous devez toutefois faire particulièrement preuve de prudence :

• Régions frontalières de l’ouest et du sud avec le Myanmar : prendre des médicaments préventifs (selon discussion avec votre médecin).
• Régions frontalières avec le Myanmar (région de Tak) et île de Little Koh Chang : emporter un produit anti-moustique et des médicaments préventifs en cas d’urgence.
• Villes de Bangkok, de Chiang Mai, de Chiang Rai et de Pattaya : aucun risque.

Autres informations :

La vaccination dont vous avez besoin au Costa Rica

Voici la liste des vaccins recommandés et obligatoires pour voyager au Costa Rica :

Vaccination recommandée selon l’OFSP:

Voici la liste des vaccins recommandés et obligatoires pour voyager au Costa Rica :

Vaccination recommandée en cas de séjour de plus de quatre semaines, pour les groupes à risques ou en cas de voyage dans des régions où l’accès à une hygiène alimentaire suffisante est difficile.

Le risque concerne la rage terrestre, comme la rage canine. On pense que la rage des chauves-souris est répandue dans le monde entier. Si un mammifère vous griffe ou vous mord pendant votre voyage, lavez immédiatement et soigneusement la plaie avec du savon et consultez un médecin. Les immunoglobines dont vous avez besoin après une exposition (prophylaxie post-expositionnelle contre la rage) sont toutefois rares dans le monde. La protection par la vaccination est donc recommandée dans les cas suivants :

• lors de séjours de longue durée dans des régions touchées
• lors de voyages à haut risque (notamment en cas de mauvais accès aux soins médicaux, par exemple lors de randonnées à pied ou à vélo dans des zones rurales)
• pour le personnel travaillant avec des animaux ou dans des grottes (chauves-souris).

Vous trouverez les informations essentielles concernant la rage sur le site de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP).

Le risque concerne la rage terrestre, comme la rage canine. On pense que la rage des chauves-souris est répandue dans le monde entier. Si un mammifère vous griffe ou vous mord pendant votre voyage, lavez immédiatement et soigneusement la plaie avec du savon et consultez un médecin. Les immunoglobines dont vous avez besoin après une exposition (prophylaxie post-expositionnelle contre la rage) sont toutefois rares dans le monde. La protection par la vaccination est donc recommandée dans les cas suivants :

• Dans les provinces de Limón, Heredia, Alajuela, Puntarenas : Risque minime, prévoir un anti-moustique
• Reste du pays, y compris San José : Aucun risque
• Dans les provinces de Limón, Heredia, Alajuela, Puntarenas : Risque minime, prévoir un anti-moustique
• Reste du pays, y compris San José : Aucun risque

La vaccination dont vous avez besoin en Inde

Voici la liste des vaccins recommandés et obligatoires pour voyager en Inde :

Poliomyélite

Obligatoire en cas de voyage en Afghanistan, en Éthiopie, au Kenya, en Somalie, en Syrie, au Nigeria ou au Pakistan.

La vaccination doit être

• effectuée depuis au plus tard quatre semaines et moins d’un an avant l’entrée dans le pays
• documentée dans le certificat international de vaccination.

Voici la liste des vaccins recommandés et obligatoires pour voyager en Inde :

• pour les visiteurs du Hajj/de la Omra en Arabie Saoudite

Vaccination recommandée en cas de séjour de plus d’une semaine

La principale période de transmission s’étend de mai à novembre dans le nord et sur toute l’année dans le sud. Généralement, le risque est toutefois assez faible. La vaccination est recommandée uniquement

En Inde, le risque d’attraper le paludisme varie entre le nord et le nord-est et le reste du pays. Les dénivelés jouent également un rôle :

En dessous de 2000 m au-dessus du niveau de la mer

• À l’est et au nord-est : risque élevé. Selon la région, prendre des médicaments préventifs ou les emporter avec soi.
• Reste du pays, y compris Delhi, Rajasthan, Mumbai et les îles Andaman : risque minime, prévoir un anti-moustique

Au-dessus de 2000 m au-dessus du niveau de la mer

• Altitudes Himachal Pradesh, Jammu, Kashmir et Sikkim : aucun risque

Il n’existe malheureusement pas de vaccin contre le paludisme. Selon le pays et la région, il est toutefois recommandé de prendre des médicaments préventifs ou de les emporter avec soi en voyage. Demandez conseil à un ou une spécialiste de la médecine des voyages quatre à six semaines avant votre départ.

Vous trouverez les informations essentielles concernant la prévention contre la malaria sur le site de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP).

En Inde, le risque d’attraper le paludisme varie entre le nord et le nord-est et le reste du pays. Les dénivelés jouent également un rôle :

En dessous de 2000 m au-dessus du niveau de la mer

• À l’est et au nord-est : risque élevé. Selon la région, prendre des médicaments préventifs ou les emporter avec soi.
• Reste du pays, y compris Delhi, Rajasthan, Mumbai et les îles Andaman : risque minime, prévoir un anti-moustique

Au-dessus de 2000 m au-dessus du niveau de la mer

• Altitudes Himachal Pradesh, Jammu, Kashmir et Sikkim : aucun risque

Dans quels pays y a-t-il un risque de malaria ?

Dans quels pays y a-t-il un risque de malaria ?

Équateur, Érythrée, Éthiopie, Gabon, Gambie, Ghana, Guyane française, Guinée, Guinée-Bissau, Guinée équatoriale, Kenya, Liberia, Mali, Mauritanie, Niger, Nigeria, Ouganda, Pérou, R.D. Congo, République centrafricaine, Sao Tomé-et-Principe, Sénégal, Sierra Leone, Somalie, Soudan, Soudan du Sud, Tanzanie, Tchad, Togo, Trinidad et Tobago, Venezuela, Zambie.

Sont exclus de l’obligation vaccinale :

• Personnes âgées de plus de 60 ans
• Femmes enceintes
• Femmes allaitantes
• Enfants de moins de 9 mois

Votre pays de destination n’est pas mentionné ici ? Pas de souci. Vous trouverez la liste complète des recommandations vaccinales pour tous les pays sur le site de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP).

Sont exclus de l’obligation vaccinale :

• Personnes âgées de plus de 60 ans
• Enfants de moins de 9 mois

Votre pays de destination n’est pas mentionné ici ? Pas de souci. Vous trouverez la liste complète des recommandations vaccinales pour tous les pays sur le site de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP).

• OFSP : Vaccination et protection contre la malaria pour tous les pays

Julia Pieh (docteure en pharmacie et toxicologie, pharmacienne, naturopathe) travaille chez Helsana en tant que conseillère en santé et coach qualité. Elle propose à la clientèle des conseils de santé avisés. Julia Pieh a conseillé l’équipe de rédaction pour la publication de cet article.

Julia Pieh (docteure en pharmacie et toxicologie, pharmacienne, naturopathe) travaille chez Helsana en tant que conseillère en santé et coach qualité. Elle propose à la clientèle des conseils de santé avisés. Julia Pieh a conseillé l’équipe de rédaction pour la publication de cet article.

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"Faites-vous tester après les vacances", incite l'OFSP

- L'Office fédéral de la santé publique (OFSP) appelle à se faire tester au retour de vacances, sauf pour les personnes vaccinées ou récemment guéries du Covid-19. Une campagne a démarré lundi: "maintenant même sans symptômes: faites-vous tester après les vacances".

- La Suisse comptait mardi 1059 cas supplémentaires de Covid-19 en 24 heures, selon les chiffres de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP). Aucun décès n'a été enregistré, mais 53 malades ont été hospitalisés.

- Une étude de l'Hôpital universitaire de Zurich montre que les patients hospitalisés aux soins intensifs lors de la troisième vague de la pandémie, au printemps dernier, étaient moins âgés que ceux des vagues précédentes. Ils étaient également plus souvent en surpoids et avaient davantage de maladies préexistantes.

- Alors que le prix des vaccins à ARN messager de Pfizer/BioNTech et Moderna a augmenté en Europe, l'OFSP se refuse à indiquer si la Suisse est elle aussi concernée par cette hausse des prix.

- Le variant Delta inquiète les autorités dans de nombreux pays en raison de sa rapide transmission et de sa plus grande contagiosité. En Suisse, il représentait 30% des contaminations début juillet, selon Alessandro Diana, spécialiste des maladies infectieuses et membre expert à Infovac.ch.

- En moyenne sur la dernière semaine, le nombre de nouveaux cas se monte à 724 par jour et le nombre de nouvelles hospitalisations à 10. Ces deux chiffres se sont stabilisés. Le nombre de décès quotidiens, lui, est en légère hausse à 1,4.

Plus aucun pays à risque sur la liste de l'OFSP

Actuellement, aucun pays ne se trouve sur la liste des pays où circule un variant préoccupant. L'Inde, le Népal et le Royaume-Uni en ont été retirés à compter de mercredi, indique l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) sur sa page internet .

Bonne fréquentation au Verbier Festival malgré le virus

Le Verbier Festival a bouclé son édition dimanche après quinze jours de concerts en présentiel. Les premiers chiffres indiquent près de 30’000 spectateurs malgré un début difficile, lié au Covid-19.

Les protocoles de sécurité précédant l'ouverture du Festival ont été mis à l'épreuve lorsque 23 membres du Verbier Festival Orchestra ont été testés positifs au Covid-19, rappellent les organisateurs dans un communiqué mardi. Ces cas ont été maîtrisés grâce à l'activation des protocoles d'isolement et de quarantaine, ainsi que via l'augmentation des fréquences de tests.

Aucun autre cas n'a été identifié parmi les plus de 700 artistes et membres du personnel tout au long de l'événement.

Martin Ackermann appelle les plus de 50 ans à se faire vacciner

"Nous avons en Suisse les meilleurs vaccins, en quantité suffisante", a répété le président de la Task Force scientifique Martin Ackermann. Il a appelé les indécis à se faire vacciner avant l'automne, surtout les plus de 50 ans.

"Nous allons tous être infectés, que ce soit par le vaccin ou par le virus lui-même", a souligné le professeur de l'EPFZ, pour qui il est nettement préférable de l'être par le vaccin, qui protège des formes graves et du Covid long.

"Faites-vous vacciner dès que possible", a-t-il ajouté, estimant que "nous avons la possibilité d'en finir avec l'épidémie d'ici deux mois".

Il reste en Suisse trois millions de personnes non immunisées, ce qui pourrait en cas de flambée conduire à une nouvelle surcharge du système de santé, selon le Pr Ackermann. Il s'agit donc de "réduire autant que possible la proportion des non-vaccinés chez les plus de 50 ans".

Une reprise de la vaccination à la rentrée?

Le nombre de doses administrées en Suisse a dépassé le cap des 9 millions (9'046'281). Au total, 48,3% de la population est entièrement vaccinée et 54,4% a reçu au moins une dose. Cela signifie que 66% des adultes ont reçu au moins une dose et 59% les deux doses.

Un ralentissement de la vaccination est observé depuis le début de l'été. Seule la population âgée a une couverture de près de 80%. Virginie Masserey rappelle que toutes les personnes qui le souhaitent peuvent se faire vacciner: la Suisse continue de recevoir des vaccins (1,5 million de doses en juillet et autant en août).

Reprise de la vaccination à la rentrée

"Nous ne voulons pas constituer des stocks, a souligné la médecin. Nous allons réduire les commandes si les vaccinations ne suivent pas pour que d'autres pays puissent en profiter". L'OFSP s'attend toutefois à une reprise de la vaccination à la rentrée.

"Les cantons font des efforts pour renforcer la vaccination et la proposer à proximité de tout le monde", a-t-elle souligné. Avec le variant Delta très contagieux, il est particulièrement important de se faire vacciner avant l'automne.

>> Voir aussi le sujet du 19h30 :

"On a encore assez de personnes non immunes en Suisse pour craindre une surcharge des hôpitaux. Le virus deviendra certainement endémique comme d'autres virus saisonniers. Le vaccin reste un moyen beaucoup plus sûr de s'immuniser que l'infection. Un risque de complications avec la maladie est de l'ordre de 1000 fois plus élevé que de souffrir de complications avec le vaccin."

Quant à la question d'éventuels rappels, elle est encore à l'étude: il n'est pas encore clair quand et à qui cette mesure serait destinée, poursuit Virginie Masserey. "Mais en cas de nécessité, on serait prêt."

Tests préconisés au retour de vacances

L'Office fédéral de la santé publique (OFSP) appelle à se faire tester au retour de vacances, sauf pour les personnes vaccinées ou récemment guéries du Covid-19. Une campagne a démarré lundi. Son slogan: "Maintenant, même sans symptômes, faites-vous tester après les vacances".

La cheffe de la section contrôle des infections de l'OFSP Virginie Masserey n'envisage pas pour autant des tests obligatoires dans les aéroports. "C'est une chose à laquelle on peut réfléchir, mais qui reste difficile à mettre en oeuvre et à contrôler", a-t-elle estimé. Elle appelle à la responsabilité individuelle afin de "faire les bons choix pour soi, et pour la collectivité".

Niveau bas d'hospitalisations

L'évolution de la situation est actuellement incertaine, a-t-elle également relevé en conférence de presse. Le nombre de nouvelles infections a augmenté assez rapidement au début juillet, mais la vitesse d'augmentation a ralenti depuis deux semaines.

"On voit que les hospitalisations augmentent aussi, mais restent à un niveau bas", poursuit la spécialiste. Elle invoque plusieurs facteurs pour expliquer cette hausse depuis juillet: l'allègement des mesures fin juin qui a permis des rassemblements et des mouvements de personnes, notamment autour des matches de foot de l'Euro par exemple. Le variant Delta, plus contagieux, s'est aussi imposé en Suisse.

La couverture vaccinale chez les personnes vulnérables est élevée. "Cet élément joue certainement un rôle dans le bas niveau des hospitalisations par rapport au nombre d'infections et comparé aux vagues précédentes", analyse Virginie Masserey. Autre élément: les infections, actuellement, surviennent surtout parmi les personnes jeunes, moins sensibles.

>> Ecouter Virginie Masserey dans le 12h30 mercredi :

Septante personnes ont été infectées au centre d'asile de Bâle

Au total, septante résidents ont été infectés par le coronavirus au centre d'asile fédéral de Bâle. Le centre avait été placé en quarantaine jeudi après la découverte de 50 cas.

Le test de masse effectué lundi a révélé que 17 personnes supplémentaires ont été infectées, a indiqué mardi le département de la santé du canton de Bâle-Ville. Trois autres infections ont été détectées au cours du week-end.

Une personne a été hospitalisée. Les autres résidents sont asymptomatiques. Un nouveau test de masse sera effectué vendredi. Le centre dans son ensemble est placé en quarantaine.

Plus de 48% de la population suisse est entièrement vaccinée

Du 27 juillet au 2 août, 167'808 doses de vaccin contre la Covid-19 ont été administrées en Suisse. Au total, 48,3% de la population est donc entièrement vaccinée, selon les données publiées mardi sur le site de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP).

Depuis le début de la campagne de vaccination, 9'046'281 doses de vaccin ont été administrées. Au total, 4'181'144 personnes ont reçu deux doses de sérum et 683'993 jusqu'à présent une seule piqûre.

En moyenne, 23'973 vaccinations ont été effectuées par jour. Comparé à la semaine précédente, le rythme des injections a ralenti de 41%.

Plus de 1000 nouveaux cas en une journée

La Suisse compte mardi 1059 cas supplémentaires de coronavirus en 24 heures, selon les chiffres de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP). Aucun décès n'a été enregistré, alors que 53 malades ont été hospitalisés.

Durant les dernières 24 heures, les résultats de 16'957 tests ont été transmis, indique l'OFSP. Le taux de positivité s'élève à 6,25%.

Sur les quatorze derniers jours, le nombre total d'infections est de 10'155, soit 117,47 nouvelles infections pour 100'000 habitants. Le taux de reproduction, qui a un délai d'une dizaine de jours, est lui de 1,07. Les patients Covid-19 occupent 5,10% des places disponibles en soins intensifs, dont le taux d'occupation est de 64,40%.

Depuis le début de la pandémie, 720'743 cas de contamination au Covid-19 ont été confirmés en laboratoire sur un total de 9'133'234 tests effectués en Suisse et au Liechtenstein. Le total des décès s'élève à 10'420 et le nombre de personnes hospitalisées atteint 29'574.

Le pays dénombre par ailleurs 5763 personnes en isolement et 6527 individus faisant partie de leurs contacts ont été mis en quarantaine. S'y ajoutent 918 autres personnes revenant de voyage d'un pays à risque et qui ont dû aussi passer par la case de la quarantaine.

Patients de la troisième vague moins âgés et plus en surpoids

Les patients atteints de Covid-19 et placés aux soins intensifs en Suisse au cours de la troisième vague étaient moins âgés que ceux des vagues précédentes. Ils étaient aussi plus souvent en surpoids, selon une étude de l'Hôpital universitaire de Zurich (USZ).

Lors de cette troisième vague au printemps dernier, les patients étaient âgés de 62 ans en moyenne, contre 66 ans pour ceux des deux vagues précédentes. Ils avaient en outre un indice de masse corporelle plus élevé et davantage de maladies préexistantes, notamment cardiovasculaires, a indiqué mardi l'USZ dans un communiqué.

Ces patients ont dans l'ensemble un peu mieux toléré le Covid-19, mais ils ont plus souvent souffert d'un syndrome de détresse respiratoire aiguë que leurs prédécesseurs. Cet état potentiellement fatal laisse fréquemment des séquelles graves et une incapacité de travail prolongée, même chez des personnes jeunes.

Différences liées à la vaccination

"Les différences que nous pouvons observer dans la troisième vague dépendent vraisemblablement en grande partie de la campagne de vaccination", commente Matthias Hilty, auteur principal de l'étude, cité dans le communiqué. Les personnes âgées vaccinées sont en effet protégées des formes graves de la maladie.

Les auteurs n'excluent toutefois pas que des propriétés différentes du virus soient aussi en cause. Cette étude publiée dans la revue Swiss Medical Weekly a pris en compte les données de l'ensemble des 1829 patients placés aux soins intensifs dans un hôpital suisse pour cause de Covid-19. Sur ce total, 139 sont considérés comme faisant partie de la troisième vague, à partir du 1er février 2021.

Prix des vaccins à la hausse: pas de commentaire à Berne

Pfizer/BioNTech et Moderna augmentent le prix de leur vaccin en Europe. Selon le Financial Times, les deux sociétés ont tiré avantage de la renégociation de leurs contrats avec la Commission européenne pour augmenter les prix.

Les laboratoires justifient cet important réajustement par l'arrivée des nouveaux variants, qui demandent des investissements importants en recherche et développement.

En Suisse, la Confédération est-elle aussi concernée par cette hausse des prix? "Nous ne pouvons pas donner d'indication sur le contenu du contrat qui nous lie avec les producteurs de vaccins contre le Covid-19, de même que sur les prix de ces vaccins", répond l'Office fédéral de la santé publique (OFSP).

>> Les précisions de Cynthia Racine dans La Matinale :

Le canton de Berne veut motiver les jeunes à se vacciner

La direction bernoise de la Santé a lancé un sondage à l'intention des 16-24 ans. L'objectif est de comprendre ce qui pousse ou ce qui fait hésiter les jeunes à passer par la case piqûre. Cela devrait permettre au canton de mieux cibler les jeunes et de convaincre les indécis.

4000 d'entre eux qui ont déjà reçu une première dose et 1000 inscrits qui n’ont pas encore de rendez-vous recevront le questionnaire facultatif.

Dans le canton, 36% des 16-17 ans sont déjà vaccinés. Le chiffre tombe à 20% pour les 12-15 ans.

>> Les explications de Célia Bertholet dans La Matinale :

Le Valais renforce la prise en charge psychiatrique de ses jeunes

Le canton du Valais va se doter d'une hotline et de huit nouveaux postes de soignants. L'objectif est affronter la demande en consultations ambulatoires, qui a doublé chez les 14-24 ans avec la pandémie.

Car, même si les écoles ont rouvert et que la plupart des restrictions ont été levées, le moral d'une partie de la jeunesse reste précaire.

>> Ecouter le témoignage de Kerstin von Plessen, cheffe du Service universitaire de psychiatrie de l’enfant et de l'adolescent au CHUV :

>> Les précisions du 12h30 lundi :

En Thaïlande, des ressortissants suisses réclament des vaccins

En voyage diplomatique en Asie, le conseiller fédéral Ignazio Cassis a été interpellé sur le sujet de la vaccination par des ressortissants suisses en Thaïlande, inquiets de ne pas pouvoir accéder au vaccin alors que la pandémie de Covid-19 frappe durement le pays.

Près de 10'000 Suisses et Suissesses résident en Thaïlande, dont une grande partie de retraités, particulièrement vulnérables. Certains sont rentrés se faire vacciner, mais le voyage coûte cher et seules les personnes encore assurées en Suisse ont la garantie de recevoir leurs doses.

Ignazio Cassis s'est voulu rassurant : "Nous allons nous engager avec l'ambassade pour qu'ils reçoivent des rendez-vous pour se faire vacciner. Nous espérons avec ces mesures passer de quelques centaines de rendez-vous à quelques milliers."

>> Le sujet du 19h30 lundi :

Vaccination et traitement différencié dans les entreprises

Certaines entreprises adoptent l'optique d'un allègement des mesures sanitaires en fonction du statut vaccinal et appliquent un régime différent entre le personnel vacciné et non-vacciné. A la Chambre de commerce et d'industrie de Genève (CCIG), par exemple, les personnes déclarant être vaccinées peuvent enlever le masque lors des séances, alors que les non-vaccinés doivent le garder.

Le patron n'a cependant légalement pas le droit de contrôler si les employés disent la vérité. Pour le directeur de la CCIG Vincent Subilia, cela n'est pas l'objectif: "Nous sommes dans une logique de consentement, il n'y a aucune contrainte."

>> Lire aussi : Les employeurs peuvent-ils obliger leur personnel à se faire vacciner?

Mais pourrait-on voir à l'avenir des entreprises n'engageant que du personnel vacciné? "Le critère de la vaccination n'est pas discriminatoire au sens de la loi", affirme Patrick Mock, du service juridique du Centre patronal vaudois. Il ajoute que l'absence de vaccination pourrait par ailleurs être un motif de licenciement.

>> Le reportage du 19h30 dans les entreprises :

Le variant Delta se transmet deux fois plus, mais le vaccin reste efficace

Le variant Delta inquiète les autorités dans de nombreux pays en raison de sa rapide transmission et de sa plus grande contagiosité. En Suisse, il représentait 30% des contaminations début juillet, selon Alessandro Diana, spécialiste des maladies infectieuses et membre expert à Infovac.ch.

"Les données sur le variant Delta montrent que sur 100 personnes, 12 peuvent être infectées avec le virus", alors que les variants précédents infectaient entre 4 à 6 personnes, avance l'expert. Une vaccination n'exclut pas non plus la transmissibilité du virus avec ce variant, raison pour laquelle les gestes barrières doivent continuer à être appliqués.

Les vaccins ARN administrés en Suisse conservent toutefois leur efficacité. "Le vaccin reste recommandé car il évite à plus de 96% les hospitalisations et les décès liés au Covid-19", assure Alessandro Diana, avant d'ajouter que "cette pandémie semble devenir celle des non-vaccinés". "Nous sommes effarés de voir des personnes de 40-50 ans en soins intensifs à l'hôpital qui ne sont, pour la grande majorité, pas vaccinées."

>> L'interview d'Alessandro Diana dans Forum :

Retour sur la journée de mardi

>> Retour sur la journée de mardi : "Faites-vous tester après les vacances", incite l'OFSP

Le dossier complet

Retrouvez dans notre dossier toutes les informations, toutes les analyses et toutes les émissions consacrées au Covid-19.

Le dossier consacré à l'épidémie de coronavirus

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Démesurée, dynamique, trépidante, la capitale russe est l’écrin d’une halte urbaine dans un décor improbable d’époques et de styles. Une icône, emblème du pouvoir, magnifiant son exceptionnel patrimoine historique. Une creative city audacieuse qui s’est lancée dans une course folle à la modernité et dévoile un champ infini de possibles : musées flamboyants, concepts stores, usines réhabilitées en spots arty, restaurants branchés, vie nocturne animée... Explorer la Russie du troisième millénaire le temps d’un séjour à Moscou , d’un voyage sur mesure ou lors d’une étape d’un de nos circuits accompagnés .

Un tour d'orientation commence la découverte. Défilent la célèbre place Rouge et les clochers à bulbe colorés de la cathédrale de Basile-le-Bienheureux, les pittoresques quartiers de Kitaï Gorod et du Zariadié, la chic rue Tverskaya, l’Arbat, quartier de la bohème, les quais de la Moskova et les monts aux Moineaux offrant un beau panorama sur la ville… Il est alors temps de visiter le Kremlin, cœur de la cité qui renferme dans ses remparts crénelés le plus riche et le plus bel ensemble de palais et de sanctuaires de Moscou, le monastère Novodievitchi, l'un des plus anciens de Moscou, le prestigieux musée des Beaux-Arts Pouchkine. Prendre le métro moscovite, éblouissant « palais souterrain du peuple » creusé à l’époque du stalinisme triomphant... Assister à un spectacle au fameux Cirque de Moscou ou au fastueux théâtre Bolchoï ... Se balader en bateau-mouche sur la Moskova... Flâner au Vernissage, grande foire pittoresque d'artisanat... Ce ne sont là que quelques idées de nos experts orientalistes qui vous réservent leurs bonnes adresses et bons plans.

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L’AVIS DE FRÉDÉRIQUE, SPÉCIALISTE ORIENTALISTE

«  Moscou illustre la Russie du troisième millénaire : une creative city déroutante de paradoxes et riche d’une nouvelle énergie, qui déploie ses concepts stores, spots arty et restaurants branchés au côté de sites historiques incontournables : la célèbre place Rouge ; les clochers à bulbe colorés de la cathédrale de Basile-le-Bienheureux ; le prestigieux musée des Beaux-Arts Pouchkine... Cela donne à la capitale russe, emblème du pouvoir, un décor improbable d’époques et de styles ! ».

OÙ PARTIR À MOSCOU ? Notre top 10 des lieux moscovites incontournables

• Le Kremlin , noyau historique et centre politique suprême, une ville dans la ville avec ses cathédrales médiévales, ses palais, ses musées dont le palais de Armures et le fonds des Diamants.
• La galerie Trétiakov , à la rencontre de l’art russe méconnu, avec ses magnifiques collections d’icônes des grands maîtres du moyen-âge, portraits et scènes rurales du XVIIIe siècle, œuvres mystiques et symboliques du XIXe siècle, art abstrait du début du XXe siècle…
• Le monastère fortifié de Novodivitchi et son cimetière adjacent, où reposent des célébrités russes. Au bord de son paisible étang, c’est un pilier de l’histoire moscovite inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco.
• Le GOUM , inauguré sous le tsar Alexandre III. Ce bâtiment de style pseudo russe a une histoire et une âme, sorte de « Mall soviétique » à l’époque de l’URSS devenu le symbole du capitalisme à la russe.
• Le musée Pouchkine , grand musée dédié à l’art occidental et antique qui ravit les amateurs d’art, d’autant que tout un bâtiment est consacré à l’art européen au tournant des XIXe et XXe siècles, notamment aux impressionnistes et aux avant-gardistes.
• Le palais des Boyards Romanov , construction du XVIe siècle parmi les plus belles de la capitale, demeure ancestrale de la dynastie la plus célèbre de Russie, qui renferme un musée de la vie de la noblesse des cours princières médiévales russes.
• Le parc Muzeon , pour une promenade inédite dans ce « cimetière des statues déchues » où ont été rassemblées des sculptures de l’ère soviétique déboulonnées après la chute du mur.
• Le domaine de Kouskovo , ancienne résidence estivale baroque des comtes Chérémétiev, avec son jardin à la française, son musée de la porcelaine dans l’Orangerie. Un endroit unique et privilégié pour un moment de culture et de détente.
• La réserve d’histoire et d’architecture de Kolomenskoïe , un espace culturel et naturel inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco, pour échapper à l’agitation de la ville dans un faubourg de collines boisées.
• La laure de la Trinité-Saint-Serge à Serguev Possad , à quelque 75 km de Moscou, dans la campagne russe. Haut-lieu de pèlerinage depuis le moyen-âge, foyer historique de l’Église russe, cet ensemble monastique exceptionnel est classé par l’Unesco.

LES BONNES RAISONS DE PARTIR À MOSCOU Notre top 10 des expériences uniques à vivre à Moscou

• Assister à un spectacle au Bolchoï dans la grande salle historique d’une rare magnificence, et faire la visite privée des coulisses de ce célèbre temple du lyrisme dont la scène rayonne de par le monde.
• Prendre le métro qui, creusé à l’époque du stalinisme triomphant à des profondeurs abyssales, possède de somptueuses stations, semblables à des salles de palais.
• Chiner à Izmaïlovo , pittoresque marché aux puces et aux souvenirs, dans un endroit étonnant et kitch, avec son faux kremlin et ses attractions fantaisistes.
• S’adonner au rituel du « bania » dans le cadre historique des bains Sandouny, au luxueux décor éclectique gothique, baroque et mauresque et aux traitements dans les règles de l’art et de la tradition.
• Se balader en brise-glace sur la Moskova pour admirer les plus beaux édifices de la ville dans leurs atours d’hiver. Une expérience inoubliable.
• Descendre dans les profondeurs de Moscou au Bunker 42 , abri anti-nucléaire à 60 mètres sous terre, ancien centre stratégique de commandement et de communication militaire transformé en musée de la Guerre Froide.
• Prendre de la hauteur à la tour de la Fédération de Moscow City , qui, avec la terrasse d’observation la plus haute d’Europe, offre une vue à couper le souffle du 89e étage et héberge au 62e un extraordinaire et atypique restaurant, parmi les plus côtés de la ville.
• Faire du patin à glace dans le cadre grandiose de la place Rouge , sur la patinoire dressée en hiver entre le musée historique et la cathédrale de Basile-le-Bienheureux.
• Flâner dans la rue piétonne Arbat , au cœur d’un des plus vieux quartiers de Moscou, aujourd’hui très huppé, qui, quoique très touristique, possède une belle architecture et une ambiance encore bohème.
• Voir Moscou d’un œil différent à Octobre Rouge , ancienne usine soviétique de confiserie face au Kremlin devenue une zone insolite et branchée, dédiée à la création, entre galeries d’art, ateliers design, concept stores, bars tendance, clubs underground…

QUAND PARTIR À MOSCOU ? La meilleure période pour partir à Moscou

La meilleure période pour visiter Moscou s’étend de juin à septembre, lorsque les jours s’allongent et que les températures s’adoucissent. Malgré des températures très froides, l’hiver peut aussi être la parfaite occasion d’admirer les magnifiques monuments de Moscou sous la neige, et de vivre la vraie saison russe.

Retrouvez les formalités et notre guide de voyage Russie pour avoir un aperçu des merveilles russes qui vous attendent...

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2018 Primetime Emmy & James Beard Award Winner

Reviving classic Russian cuisine

Oct 19 2018.

Roads & Kingdoms talks to Russian chef Vladimir Mukhin of Moscow’s super-restaurant, White Rabbit.

Still in his mid-30’s, Vladimir Mukhin is already one of Russia’s best known chefs and the leading culinary light of the White Rabbit Group, which has 16 restaurants around the country. The most well-known of these, Moscow’s  White Rabbit , was named one of the 50 best restaurants in the world last year. Roads & Kingdoms’ Nathan Thornburgh talked to Mukhin in Moscow about being a fifth-generation chef, reviving classic Russian cuisine, and finding good product in the age of embargoes.

Nathan Thornburgh: Tell me about White Rabbit, what is the food? What are you trying to accomplish there?

Vladimir Mukhin: The White Rabbit is a big restaurant. We’re trying to revive Russian cuisine. I’m a fifth-generation chef, so I’m passionate about the food we create. During the Soviet Union period, we killed Russian food. Classic Russian recipes became too simplified. For example, usually you drink tea, but if you want to be, just to be creative, want to make the tea with milk, you can’t. It would be like stealing milk from the government. People went to jail.

When I was growing up, I remember my grandfather coming to the kitchen and crying because he couldn’t experiment with his food.

Thornburgh: Wow. I remember this famous photo session with Che Guevara which came up with some of his best pictures, maybe two incredible iconic portraits came from an entire roll of film, and the photographer went to him and showed him this roll of film and Che said, What the hell are you doing? You wasted all of these images. You took 30 pictures to get one? That’s the government’s film. It’s a similar mentality.   So you’re telling the story of a kind of cuisine that was lost on the Soviet history and now you’re playing with this idea of finding it again. What does your process look like? Do you get as many grandmothers as you can round up and just kind of shake recipes out of them? How were you doing this?

Mukhin: I just try to work with as many local farmers and producers as I can, so we can use as many Russian ingredients as we can.

Thornburgh: So this is a close relationship.

Mukhin: Yes. I traveled throughout Russia—not just the big cities, but also the villages to talk with older people.

Thornburgh: You know I think people don’t understand the vastness of Russia, and how big it’s collection of cultures and languages and cuisines is. What parts of the country influences your food?

Mukhin: I’m inspired by the whole country. It’s a big territory, and sometimes it feels like it’s too big. I try and use different techniques and ingredients from all over the country, which I think makes my menus distinct.

We have an a la carte menu with about 50 dishes of classical Russian food. Everything looks modern because I’m a young chef. But if you close your eyes and try these dishes, you’ll taste 100% classic Russian flavors.

I want to highlight all aspects of Russian cuisine. Before the Olympic Games in Sochi, we opened a restaurant there, not just to make money, but to expose people visiting for the Olympics to Russian food. That’s why we opened The Red Fox restaurant. It’s all about Russian ingredients.

Thornburgh: Sochi, at least when I’ve been there, is like a Miami Beach. It’s like a place to get pizza and sushi, and go to the nightclubs.

Mukhin: You been?

Thornburgh: Yeah.

Mukhin: It’s crazy.

Thornburgh: It’s a little crazy, but it’s interesting to bring in Red Fox and sort of say okay, because people are coming out, let’s bring Russia to Sochi.

Mukhin: It was incredible. We had thousands of visitors at the restaurant.  

Thornburgh: So you really looked internally for inspiration. Did working outside of Russia motivate you to focus on Russian cuisine?

Mukhin: Yes. I spent time working in Avignon, France. I worked with Christian Etienne, and he would make a special Russian meal once a year.  It was crazy.

Thornburgh: How was the food?

Mukhin: It was shit. I told him that I would cook real Russian food for him, and I did. I cooked borscht, blinis, and other classics. He liked it and said that once a year we should use my recipes, but with his influence. I agreed, and we went on to make amazing food. Eventually, I wanted to come back to my motherland. So I left and I started working on making White Rabbit a reality.

Thornburgh: When people go to White Rabbit, what are they going to find?

Mukhin: Someone once told me that there is a new Russian cuisine and an old Russian cuisine. I think Russian cuisine is going through an evolution. So I hope people will come and see evolution at White Rabbit.

Thornburgh: Great. Always good to end on an invite. Thank you.

Mukhin: Thank you so much.

R&K Insider

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Dernière modification 12.11.2021

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